Lasource des Bains Forts, oĂč l'eau coule Ă  47,5°, alimente les thermes de Rennes. Mais depuis trĂšs longtemps, le trop-plein de cette source se dĂ©versait dans un ancien lavoir oĂč, Ă  la fin
La citĂ© de Carcassonne est l'un des sites les plus visitĂ©s de France. ClassĂ©e au patrimoine mondial de l'UNESCO, la forteresse attire chaque annĂ©e de plus en plus de visiteurs. Si vous ĂȘtes parmi ceux-lĂ , n'hĂ©sitez pas Ă  descendre un peu vers le Sud, d'autres sites superbes vous attendent ! D'ailleurs en voici un, aujourd'hui je vais vous prĂ©senter le village d'Alet-les-Bains qui se recommande Ă  divers titres, pour son site privilĂ©giĂ© et son lieu de mĂ©moire qui a marquĂ© l'histoire. Ce lieu historique intĂ©resse les savants et le simple touriste. Dans cette rĂ©gion du RazĂšs il y a de nombreux sites intĂ©ressants Ă  dĂ©couvrir. Je vous en ai dĂ©jĂ  d'ailleurs dĂ©voilĂ© quelques uns comme Rennes-le-ChĂąteau, le chĂąteau de Couiza, etc
. il vous suffit de vous reporter au sommaire pour consulter les articles qui leur sont consacrĂ©s. Je remercie vivement tous les photographes qui participent Ă  la mise en valeur de ce reportage et de ce fait, permettent la dĂ©couverte de ce patrimoine au plus grand nombre. J'ai vraiment pris plaisir Ă  monter ce reportage sur une des plus belles ruines de France. J'espĂšre donc, que vous aurez plaisir Ă  le lire. Je vous souhaite une bonne lecture 
. Alet-les-Bains se situe au Sud de Carcassonne entre Limoux et Couiza. Alet est Ă  9 km de Limoux, 34 km de Carcassonne, 105 km de Toulouse, 97 km de Narbonne et 74 km de Foix Alet-les-Bains se situe comme vous pouvez le voir Ă  9 km au Sud de Limoux. L'ancienne abbaye de Saint-Polycarpe, le chĂąteau des ducs de Joyeuse, Rennes-le-ChĂąteau et le chĂąteau d'Arques, se trouvent dans un pĂ©rimĂštre trĂšs rĂ©duit autour d'Alet, vous avez de belles visites Ă  faire en perspective. Zoom sur la carte IGN du secteur Vous remarquerez que le pont ruinĂ© romain "le pont du Diable", l'usine d'embouteillage et la source thermale d'eau chaude, se trouvent au Nord d'Alet Panorama d'Alet-les-Bains vu de l'Est Panorama d'Alet-les-Bains dans son Ă©crin de verdure Alet-les-Bains, l'Ă©glise paroissiale Saint-AndrĂ© et juste Ă  cĂŽtĂ©, les ruines de l'abbaye avec les vestiges du clocher Notre-Dame datant du XI Ăšme siĂšcle Blason de la commune d'Alet-les-Bains tel que dĂ©crit en 1696 par Charles d'Hozier Blason actuel de la commune d'Alet-les-Bains Village de l'Aude, ALET-LES-BAINS Les habitants d'Alet-les-Bains se nomment les AlĂ©tois, au recensement 2010 il y avait 431 habitants dans la commune. La petite citĂ© d'Alet se situe au sud de Carcassonne, au pied des premiers contreforts des PyrĂ©nĂ©es, Ă  9 km de la ville de Limoux. La riviĂšre d'Aude borde la ville. Un petit cours d'eau, le ThĂ©ron, qui traverse la vallĂ©e, arrose au moyen d'un aqueduc toutes les parties de la ville. Alet remonte Ă  la plus haute antiquitĂ©, ce nom d'Alet dont l'Ă©tymologie premiĂšre Electus veut dire "lieu choisi, endroit privilĂ©giĂ©", lui vient de sa situation exceptionnelle dans la vallĂ©e de l'Aude. Le charmant vallon d'Alet, que l'on nomme "le jardin du dĂ©partement de l'Aude" est abritĂ© de toutes parts par des montagnes Ă©levĂ©es. Une vue aĂ©rienne d'Alet-les-Bains, photo prise du Sud-Ouest Avant l'occupation romaine, cet oppidum Gallo-celtique Ă©tait occupĂ© par une tribu de gaulois Atacins qui fondĂšrent le bourg d'Alektha. Sous l'occupation romaine, Alet Ă©tait un chef-lieu de district avec une source thermale tant apprĂ©ciĂ©e par les Romains, ils nommĂšrent le lieu Pagus Electensis qui veut dire bourg choisi ou endroit de prĂ©dilection. Voici Ă  titre d'exemple, la source thermale d'eau chaude de Rennes-les-Bains tout proche d'Alet. Cette source d'eau chaude Ă  37° ici Ă  Rennes-les-Bains, ce sont les "bains doux", situĂ©s route de Couiza, rive gauche de la Sals, cette source est accessible par le jardin de la Reine Ă  Rennes-les-Bains. Alet, ou Aleth, en latin Electensis, est une ville Ă©piscopale du Bas-Languedoc. Ce n'Ă©tait autrefois qu'une abbaye de l'Ordre de Saint-BenoĂźt qui Ă©tait dĂ©jĂ  cĂ©lĂšbre vers le milieu du XI Ăšme siĂšcle, et dont le Pape Jean XVIII fait mention dans une de ses lettres datĂ©e de la sixiĂšme indiction au mois de juin, ce qui revient Ă  l'an 1008. L'Ă©glise d'Alet appartint Ă  une abbaye de bĂ©nĂ©dictins jusqu'au XIV Ăšme siĂšcle, un siĂšge Ă©piscopal y fut Ă©tabli. SituĂ©e dans l'ancien comtĂ© du RazĂšs, contrĂŽlant l'accĂšs de la Haute VallĂ©e de l'Aude, l'abbaye d'Alet a Ă©tĂ© trĂšs sollicitĂ©e au cours de son histoire pour son rĂŽle stratĂ©gique. Cependant, elle n'apparaĂźt souvent qu'au second ordre dans l'Ă©chiquier politique entre grandes familles mĂ©ridionales. A gauche, les toits d'Alet-les-Bains. A droite, les ruines de l'abbaye d'Alet cliquez sur la photo pour agrandir L'abbaye est d'origine carolingienne. L'Ă©rection de l'abbaye en Ă©vĂȘchĂ© se fit en 1318. Alet Ă©tant Ă©rigĂ©e en ville, le Pape Jean XXII y Ă©tablit en 1329 un siĂšge Ă©piscopal dans l'Ă©glise de Notre-Dame, dont il ordonna le premier Ă©vĂȘque un prĂȘtre nommĂ© BarthĂ©lĂ©my. Il sĂ©para du diocĂšse de Narbonne toute la partie mĂ©ridionale du comtĂ© de RazĂšs jusqu'aux confins des pays de Roussillon et de Conflans. Ce pape avait d'abord dĂ©signĂ© comme ville Ă©piscopale Limoux on Limouth ; mais il trouva trop d'opposition Ă  ce dessein. Quelques auteurs disent cependant qu'il mit d'abord cet Ă©vĂȘchĂ© Ă  Limoux, Ă  une lieue d'Alet, mais qu'il l'y transfĂ©ra trois ans aprĂšs, d'autres disent l'annĂ©e suivante. La CathĂ©drale qui Ă©tait cette ancienne abbaye dont je viens de parler, fondĂ©e dans le IX Ăšme siĂšcle par BĂ©ra comte de Roussillon, et consacrĂ©e Ă  notre bienheureux PĂšre Saint BenoĂźt, Ă©tait parfaitement belle ; mais, ayant Ă©tĂ© dĂ©truite par les hĂ©rĂ©tiques, les chanoines firent leur cathĂ©drale dans l'ancien rĂ©fectoire des moines. Le cimetiĂšre est assez proche de lĂ , et Messeigneurs Nicolas Pavillon et Tassoureau tous deux Ă©vĂȘques d'Alet, ont voulu y ĂȘtre enterrĂ©s simplement. L'Ă©glise cathĂ©drale est dĂ©diĂ©e Ă  la Vierge, et son Chapitre est composĂ© d'un doyen, de trois autres dignitaires et de douze chanoines. Le diocĂšse d'Alet comprenait autrefois quatre-vingts paroisses. Voici une carte du diocĂšse d'Alet-les-Bains, je possĂšde cette carte en fichier pdf, ici elle n'est pas trĂšs lisible, c'est pour cela qu'elle a Ă©tĂ© synthĂ©tisĂ©e ci-dessous Carte du diocĂšse d'Alet-les-Bains, qui comprenait le Pays de Sault, le Capcir, le Donezan, le FenouillĂšdes et le RazĂšs Il faut savoir qu'Alet-les-bains n'a jamais appartenu Ă  aucune famille seigneuriale. L'Aude Ă  Alet-les-Bains Le pont d'Alet datant du XVII Ăšme siĂšcle Le pont permettant de desservir le village d’Alet-les-Bains, est un pont en arc fait de pierres de taille datant de 1627 et 1640. Il est constituĂ© de 4 travĂ©es de longueurs variables 11,20 m - 20,50 m - 20,70 m - 20,80 m. Le pont d'Alet datant du XVII Ăšme siĂšcle Les vestiges des fondations de part et d'autre de l'Aude, du pont romain que l'on a surnommĂ© "le pont du Diable" Il est situĂ© en bordure de l' Aude, Ă  500 mĂštres au Nord-Ouest d' Alet. Afin de faire traverser leurs troupes et leurs chars, les Romains durent trouver un pont suffisamment solide pour franchir le fleuve Atax l'Aude, et remplacĂšrent un pont en bois existant, par un magnifique pont en maçonnerie, dĂ©truit en partie depuis un temps immĂ©morial, et dont on admire encore les piles qui paraissent indestructibles. Il y a deux lĂ©gendes concernant ce pont, l’une reposant sur une donnĂ©e historique, l’autre engendrĂ©e par les idĂ©es superstitieuses du Moyen-Âge. Des Ă©crits antiques relatant des Commentaires de CĂ©sar dans lequel il est fait mention d’un pont sur le fleuve Atax l'Aude qui fut bĂąti en un jour. Or des esprits simples et crĂ©dules, qui admettaient cette version, ne purent croire que seul la main de l’homme put venir Ă  bout de cette Ɠuvre gigantesque en l’espace de vingt-quatre heures, et trouvĂšrent plus commode de faire intervenir l’esprit malin pour expliquer ce fait miraculeux. VoilĂ  comment le pont romain d’Alektha fut appelĂ© le "Pont du Diable". Il est classĂ© aux Monuments Historiques depuis 1948. OCCUPATION ROMAINE DE LA VILLE D'ALET-LES-BAINS Le tĂ©moignage le plus apparent de l'occupation romaine est l'ancien columbarium, ou sĂ©pulcrum, dont nous voyons les restes sur le flanc de la montagne entre la vieille porte de la CadĂšne et la source orientale. Ce columbarium prĂ©sente sa face au sud et occupe sur le rocher formĂ© d'un conglomĂ©rat de calcaire sableux et blanc, incrustĂ© de nombreuses petites pierres roulĂ©es, une superficie verticale, d'environ 15 mĂštres de long, sur 3 mĂštres de hauteur voir la photo ci-aprĂšs. Les niches destinĂ©es Ă  recevoir les urnes, se composent de deux sĂ©ries les plus grandes, Ă  gauche, pouvant contenir deux ollae sĂ©parĂ©es d'un mĂštre de roche nue de la deuxiĂšme composĂ©e de cases plus restreintes. Dans chacune, on pouvait dĂ©poser une couple d'urnes cinĂ©raires ollae. En tout quarante cinq compartiments se voient encore. Les 45 niches creusĂ©es dans le roc, et dont les unes ont 0,40m X0,40m et les autres 0,25m X 0,30m sont les seuls tĂ©moins qui restent aujourd'hui de ce lointain passĂ©. Un chemin partant de la porte de la CadĂšne passe au dessus du Columbarium. C'Ă©tait donc un cimetiĂšre commun, pour les sĂ©pultures Ă  incinĂ©rations, telles que le pratiquaient les romains. On a retrouvĂ© aussi des mĂ©dailles romaines dans Alet et les environs. Des restes de constructions ont Ă©tĂ© dĂ©couverts Ă  l'orient d'Alet et dans les potagers contigus aux thermes. A 500 mĂštres en aval d'Alet, on voit encore les ruines importantes du Pont-du-Diable construit par les romains. L'occupation romaine Ă  Alet commença en 118 avant JĂ©sus-Christ et s'acheva en l'an 440 de notre l'Ăšre. Voici une photo du columbarium d'Alet-les-Bains L'abbaye d'Alet, la chapelle conservĂ©e du choeur gothique L'abbaye d'Alet, autre photo de la chapelle conservĂ©e du choeur gothique L'abbaye d'Alet, l'abside romane, l'ensemble du chevet dans l'abside romane, photo de droite, l'intĂ©rieur du choeur de l'abside de l'ancienne Ă©glise abbatiale d'Alet l'intĂ©rieur du choeur de l'abside de l'ancienne Ă©glise abbatiale d'Alet L'abbaye d'Alet, façade Nord Ouest de l'Ă©glise abbatiale avec ses grandes baies Ă  arcs en plein cintre L'abbaye d'Alet, les vestiges de la chapelle, le choeur gothique L'abbaye d'Alet, la travĂ©e Sud TEMPLE PAÏEN D'ALET DÉDIÉ A DIANE LA DÉESSE DES FORÊTS Était-ce un Ă©difice complet, le Sacellum de la DĂ©esse, ou bien une stĂšle massive ou carrĂ©e au faite pyramidal ayant au milieu une cavitĂ© destinĂ©e Ă  abriter l'Idole ? Toujours est-il, qu'il existe un monument conservĂ© au musĂ©e des Grands-Augustins de Toulouse, un Cippe ou Autel votif en marbre provenant de la ville d'Alet, haut de 0,53 mĂštres et de 0,38 mĂštres de longueur avec un dĂ©cor et des inscriptions sur la face de devant MATRI DEUM CN. POMP. PROBUS CVRATOR TEM. PLI. V. S. L. M. Traduction "A la MĂšre des Dieux, CnĂ©ius PompĂ©ius Probus, Curateur du Temple. Juste accomplissement d'un vƓu spontanĂ©. Les quatre lettres V. S. L. M. sĂ©parĂ©es par des points sont le commencement des mots votum, solvit, libens, merito." Le cimetiĂšre a toujours existĂ© autour de l'Église d'Alet, il a remplacĂ© le temple de Diane, car le christianisme a transformĂ© les Temples paĂŻens, ainsi que les lieux sacrĂ©s, en lieux consacrĂ©s aux sĂ©pultures des fidĂšles. Certains archĂ©ologues pensent que le chƓur semi-circulaire de l'Église de Notre-Dame d'Alet pouvait bien ĂȘtre en totalitĂ© ou du moins en partie, l'antique Fanum de Diana-Augusta. Voici le plan de l'abbaye d'Alet pour vous reprĂ©rez FONDATION DE L'ABBAYE D'ALET La fondation de l'Abbaye d'Alet daterait de ces pĂ©riodes troublĂ©es par les guerres et les invasions VI Ăšme - VII Ăšme siĂšcles. L'abbĂ© responsable du monastĂšre Ă©tait considĂ©rĂ© comme le Seigneur d'Alet au VIII Ăšme siĂšcle. Un document datĂ© de 796, indique que les moines d'Alet reconstruiront les murs d'enceinte du bourg pour se dĂ©fendre contre les invasions des Maures Sarrasins. Les Sarrasins aprĂšs la conquĂȘte de l'Espagne, pĂ©nĂ©trĂšrent dans l'Empire Franc, en suivant la vallĂ©e de l'Aude. Charlemagne qui avait chassĂ© l'envahisseur, vers l'annĂ©e 780, nomma le comte de Barcelone BĂ©ra Ier, comte du RazĂšs et de Conflent. Puis, c'est sous le rĂšgne de Louis-le DĂ©bonnaire, en 813, que le comte BĂ©ra 1er et la comtesse Romille son Ă©pouse transformĂšrent le monastĂšre d'Alet, qui depuis prĂšs d'un demi-siĂšcle avait Ă©tĂ© Ă©rigĂ© en abbaye. BĂ©ra, qui Ă©tait comte du RazĂšs et marquis de Gothie, fut secondĂ© dans cette oeuvre pieuse par de riches espagnols rĂ©fugiĂ©s de ce cĂŽtĂ© des PyrĂ©nĂ©es, pour Ă©chapper Ă  la tyrannie des Sarrasins maĂźtres de leur patrie. Une charte de 813, dit que BĂ©ra Ier, comte du RazĂšs, avait fait don au Pape LĂ©on III de l'abbaye d'Alet, suppliant le Saint-SiĂšge de le prendre sous sa protection. Dans cette charte, il demandait aussi au Pape de lui envoyer au monastĂšre une parcelle de la vraie croix et des reliques authentiques pour la dĂ©dicace de l'Ă©glise de cette abbaye. Le Pape obtempĂ©ra, il envoya un fragment de la vraie croix, il donna aussi les autres reliques demandĂ©es. L'ancienne Ă©glise en partie dĂ©truite par les Sarrasins, fut reconstruite Ă  trois nefs, vers l'an 800. Les premiers prĂȘtres conservĂšrent le Fanum de Diane, en l'appropriant au culte catholique, les BĂ©nĂ©dictins du IX Ăšme siĂšcle, comme plus tard ceux du XI Ăšme siĂšcle conservĂšrent religieusement le petit sanctuaire tel que nous le voyons encore aujourd'hui. Les noms des abbĂ©s d'Alet, sont restĂ©s inconnus jusqu'en l'annĂ©e 970. A cette Ă©poque, BenoĂźt Ier, d'abord abbĂ© de Saint-Hilaire, fut Ă©lu abbĂ© d'Alet. Un document datant de 993 Ă©voque son nom, BenoĂźt abbĂ© de LĂ©zat et d'Alet. L'abbaye d'Alet dans le jeu des alliances et des querelles des familles mĂ©ridionales, prit parti pour les comtes de Foix, et ce serait en guise de reprĂ©sailles que Pierre Raimond aurait dĂ©vastĂ© ce sanctuaire en 1032, pour y intervenir de nouveau vers 1054, comme on le verra ci-aprĂšs. L'abbaye d'Alet, le clocher Notre-Dame vu du Sud et le toit de l'abside romane L'abbaye d'Alet, l'angle Nord Ouest de la nef, bas-cĂŽtĂ©s et tribunes Nord Ă  gauche L'abbaye d'Alet, photo de gauche la travĂ©e Sud. A droite, les tribunes Nord cliquez sur la photo pour agrandir L'abbaye d'Alet, les vestiges du second Ă©tage situĂ© au-dessus des tribunes Nord et le clocher Notre-Dame L'abbaye d'Alet, les vestiges du clocher Notre-Dame cliquez sur la photo pour agrandir Les religieux de l'abbaye d'Alet suivaient les rĂšgles de Saint-BenoĂźt. Ils remplissaient avec zĂšle la mission complexe que s'imposaient les moines de cet ordre cĂ©lĂšbre. A l'Ă©tude, Ă  la priĂšre et Ă  la prĂ©dication, ils ajoutaient les soins de l'hospitalitĂ© Ă  donner aux voyageurs. Ils Ă©tendaient leur sollicitude aux malades qui venaient chercher remĂšde Ă  leurs maux dans les eaux bienfaisantes des piscines romaines. En 1030, le siĂšge abbatial Ă©tait occupĂ© par GrĂ©goire Geraud, Ă©lection confirmĂ©e par le Pape LĂ©on IX. Sous son administration, en 1054, Pierre Raymond vicomte de BĂ©ziers, petit fils de Roger 1er, alliĂ© de Guiffred, archevĂȘque de Narbonne, enfreignit la TrĂȘve de Dieu, faisant saisir dans l'Ă©glise d'Alet deux chevaliers qui s'y Ă©taient rĂ©fugiĂ©s et qui n'avaient commis aucun crime. Il fit pendre l'un de ces chevaliers comme voleur et un scĂ©lĂ©rat, il Ă©tait parent de BĂ©renger, vicomte de Narbonne. Ce chevalier fut pendu aux fourches patibulaires scellĂ©es sur un rocher qui domine Alet, au-dessus des eaux chaudes. Ce trait de cruautĂ© est mentionnĂ© dans une plainte que porta BĂ©renger, vicomte de Narbonne. Le Pape Urbain II lors de son voyage pour prĂȘcher la croisade, aprĂšs avoir visitĂ© Toulouse et Carcassonne, vint Ă  Alet le 16 juin 1096, visiter le monastĂšre et la nouvelle Ă©glise abbatiale. Il y cĂ©lĂ©bra la messe. Cette visite du souverain pontife prouva combien les abbĂ©s d'Alet Ă©taient puissants Ă  Rome. Raymond Ier devint abbĂ© en 1101. Sept ans aprĂšs en 1108, Roger II, comte de Foix, restitua au monastĂšre d'Alet 80 sols monnaie de Toulouse, pour des droits injustes qu'il exigeait du village de Valislas faisant parti de son domaine qui avait Ă©tĂ© donnĂ© Ă  l'abbaye d'Alet par Roger, comte de Carcassonne. L'abbaye d'Alet, la façade Sud donnant sur le cimetiĂšre et son portail roman l'abside de l'ancienne Ă©glise abbatiale d'Alet de l'Ă©glise abbatiale En 1116, il y eut un conflit entre l'abbaye de Lagrasse et Alet, le pape Pascal II confirme Ă  Alet la possession du monastĂšre de Saint-Polycarpe, prĂ©cisant que cette abbaye avait Ă©tĂ© enlevĂ©e Ă  Alet par la violence des pouvoirs sĂ©culiers. Cette usurpation par l'abbaye de Lagrasse va perdurer encore jusqu'en 1082, lorsque Bernard-Aton, vicomte de Carcassonne fait des donations Ă  Lagrasse et Ă  Saint-Polycarpe conjointement. Ce n'est donc probablement qu'Ă  la faveur de la rĂ©conciliation des comtes de Foix avec les Trencavel en 1095 qu'Alet peut enfin rĂ©cupĂ©rer le monastĂšre de Saint-Polycarpe. Le monastĂšre d'Alet a d'importantes possessions qui s'Ă©tendaient en 1119 jusqu'Ă  Saint-Paul de Fenouillet et Saint Papoul. L'Ă©glise abbatiale d'Alet possĂ©dait de magnifiques baies romanes que l'on peut admirer ici sur la façade Nord Les vestiges d'une fenĂȘtre circulaire sur le transept Nord magnifiquement dĂ©corĂ©e On peut encore voir des sculptures comme ici un fĂ©lin sur la façade Sud de l'Ă©glise Autre dĂ©tail sur la façade Sud de l'Ă©glise, d'une sculpture reprĂ©sentant un lion chevauchĂ© par un homme dont il ne reste que la jambe FenĂȘtres hautes riches de dĂ©cors de motifs gĂ©omĂ©triques sur la façade extĂ©rieure Sud cliquez sur la photo pour agrandir Façade Sud, porche voĂ»tĂ© en berceau, prĂ©cĂšde la porte qui s'ouvre sous une archivolte Ă  trois voussures s'appuyant sur des colonnes Ă  chapiteaux sculptĂ©s Photo de gauche, chapiteaux Ă  l'entrĂ©e de la salle capitulaire, remarquez le pilier carrĂ©, il est gravĂ© dans sa partie basse, sur la photo de droite vous avez cette gravure en gros plan. Si vous avez dĂ©codĂ© le texte, Ă©crivez moi, je l'indiquerai ici. La salle capitulaire se divise en deux travĂ©es voĂ»tĂ©es chacune d'ogives sur lesquelles donnent deux absidioles Ă  cinq pans voĂ»tĂ©es d'ogives Ă  six nervures. La façade romane est composĂ©e par une porte centrale encadrĂ©e de deux larges baies dont la sculpture rĂ©vĂšle une exceptionnelle qualitĂ©. Des scĂšnes sont sculptĂ©es sur les piliers telles que La fuite en Égypte, l'Annonciation, une chasse Ă  l'ours, un centaure surmontĂ© d'un personnage, un affrontement de bouquetins. Les deux baies latĂ©rales supportent des sculptures variĂ©es oiseaux, pommes de pin, feuillages. L'intĂ©rieur de la salle fut restaurĂ© au XIV Ăšme siĂšcle. On remplaça les voĂ»tes romanes par des voĂ»tes gothiques. Bernard Ier Ă©tait abbĂ© en 1162 et Pons Amelius ou Amiel vers 1167 Ă  1197. En 1197 aprĂšs la mort de Pond Amiel, les moines Ă©lisent pour succĂ©der Ă  Pons, l'abbĂ© de Saint-Polycarpe, Bernard II de Saint-FerrĂ©ol. Cette Ă©lection dĂ©plut Ă  Bertrand de Saissac qui Ă©tait alors tuteur du jeune Raymond Roger vicomte de BĂ©ziers, de Carcassonne et du RazĂšs, et qui, en cette qualitĂ© avait une grande autoritĂ© sur le pays. Il se rendit en armes Ă  Alet et arracha le nouvel abbĂ© de son siĂšge et ordonna une nouvelle Ă©lection, aprĂšs avoir mis en fuite quelques moines. Il ordonna mĂȘme de dĂ©terrer le corps de Pons Amiel pour le placer sur la chaire abbatiale pour qu'il prĂ©side ainsi Ă  l'Ă©lection du nouvel abbĂ©. C'est Bozon qui fut Ă©lu Ă  la tĂȘte de 300 moines vivant Ă  Alet. Lors de la croisade des albigeois, Bozon livra la ville d'Alet au comte de Foix Raimond Roger, devenu tuteur du jeune Trencavel, fils du vicomte Roger. A la suite de cela, le concile du Puy-en-Velay, dĂ©cida de dĂ©grader Bozon et les moines factieux par dĂ©cret du 16 septembre 1222. En mai 1223 l'abbaye d'Alet fut unie Ă  la cathĂ©drale de Narbonne, tous les moines furent chassĂ©s et remplacĂ©s par douze chanoines sĂ©culiers de Narbonne pour desservir l'Ă©glise d'Alet. En 1233, l'abbaye fut restituĂ©e aux moines qui s'Ă©taient exilĂ©s aprĂšs un procĂšs contre l'archevĂȘque de Narbonne et le Pape nomma Udalger d'Ajort abbĂ© d'Alet qui mourut vers 1279. Ses successeurs seront Raymond II vers 1265 Ă  1279 il sera excommuniĂ© par l'archevĂȘque de Narbonne, puis Bertrand en 1284, puis Pierre en 1303. Au Moyen-Âge Alet se trouvait dans le diocĂšse de Narbonne et, Ă  partir du XIII Ăšme siĂšcle, dans l'une de ses subdivisions l'archiprĂȘtrĂ© du Haut-RazĂšs, correspondant en gros Ă  la Haute VallĂ©e de l'Aude. A partir de 1318, cet archiprĂȘtrĂ© fut inclus dans le nouveau diocĂšse d'Alet. Dans les murs trĂšs Ă©pais des cinq pans de l'abside romane sont amĂ©nagĂ©es cinq niches dont voici une des voĂ»tes. DĂ©tail d'une sculpture d'un des chapiteaux Ă  l'entrĂ©e de la salle capitulaire reprĂ©sentant l'Annonciation. Sur un fond de vĂ©gĂ©tation, la vierge assise encadrĂ©e par l'ange Gabriel et par l'apĂŽtre Luc. Autre angle de vue, montrant un dĂ©tail d'un des chapiteaux Ă  l'entrĂ©e de la salle capitulaire reprĂ©sentant l'Annonciation. A gauche, dĂ©tail des sculptures sous une archivolte Ă  dĂ©cor de palmettes, couronnant un chapiteau historiĂ©. A droite, les chapiteaux historiĂ©s se faisant face d'une des baies de la salle capitulaire. AprĂšs 1234, l'abbaye d'Alet se trouve durablement affaiblie, Ă  cause de ces affaires et de la croisade des Albigeois oĂč de nombreux biens furent confisquĂ©s. Mais si l'abbatiale romane avait Ă©vitĂ© les dĂ©vastations de la croisade des Albigeois, elle ne put cependant Ă©chapper plus tard au pillage des protestants, c'est ce que nous verrons plus loin. A partir de mars 1318, il y eut Ă  Alet trente cinq Ă©vĂȘques. Voici une vue dans son ensemble de l'accĂ©s Ă  la salle capitulaire Grandes baies Ă  arcs en plein cintre d'une tribune de l'Ă©glise sur le cĂŽtĂ© Nord-Ouest de la nef de l'Ă©glise abbatiale d'Alet-les-Bains A gauche, une des absidioles de la salle capitulaire, elles sont Ă  cinq pans voĂ»tĂ©es d'ogives Ă  six nervures. A droite, on aperçoit l'entrĂ©e de la salle capitulaire et au fond le bras Nord du transept Le pape français d'Avignon Jean XXII 1316-1334 transfĂšre le trĂŽne Ă©piscopal Ă  Alet le 18 fĂ©vrier 1318. L'Ă©glise abbatiale deviendra alors Ă©glise cathĂ©drale en 1318 sous le vocable de Saint-BenoĂźt. Vers 1310, BarthĂ©lemy sera le dernier Ă©lu abbĂ© bĂ©nĂ©dictin d'Alet car il sera nommĂ© par le pape Jean XXII, premier Ă©vĂȘque d'Alet. L'Ă©vĂȘque BarthĂ©lemy mourut en 1333. Les Ă©vĂȘques vont agrandir la vieille cathĂ©drale romane afin de la transformer en une cathĂ©drale gothique. Alet va connaĂźtre une vie nouvelle avec, notamment, la construction de l'Ă©glise paroissiale Saint-AndrĂ©. On trouve gravĂ© sur un des piliers de l'ancienne cathĂ©drale d'Alet le blason de la famille de Rochefort et l'Ă©cusson de Guillaume IV de Rochefort qui fut Ă©vĂȘque d'Alet de 1489 Ă  1508. En 1531, c'est l'Ă©vĂȘque Guillaume de Joyeuse qui obtint du pape ClĂ©ment VII l'agrĂ©ment du roi François 1er, la sĂ©cularisation de son chapitre. Comme de coutume, Ă  la fin de chaque article, voici quelques photos anciennes qui raviront certains lecteurs, d'autres photos seront aussi diffusĂ©es en fin de seconde partie CathĂ©drale d'Alet extĂ©rieur de la nef cĂŽtĂ© cimetiĂšre photo rĂ©alisĂ©e par Trutat EugĂšne 1840-1910 CathĂ©drale d'Alet extĂ©rieur de la nef cĂŽtĂ© cimetiĂšre photo rĂ©alisĂ©e par Trutat EugĂšne 1840-1910 Alet-les Bains en 1905, les ruines du monastĂšre Alet-les Bains en 1905, les ruines du monastĂšre Alet-les Bains en 1905, l'Aude, on aperçoit les ruines des culĂ©es du pont romain et la route nationale Ă  droite n'Ă©tait pas trĂšs frĂ©quentĂ©e Ă  l'Ă©poque Alet-les Bains, l'Aude au Pont du Diable en 1905 Alet-les Bains, une vue gĂ©nĂ©rale prise de l'Ouest en 1905 Alet-les Bains, mine de Dolomite en 1905, qui se trouvait Ă  l'Ouest d'Alet sur la petite route de Coussergues, aujourd'hui elle est abandonnĂ©e Alet-les Bains, la source communale, l'Ă©tablissement thermal en 1905 Alet-les Bains, l'hĂŽtel Terminus proche de l'Ă©tablissement Thermal en 1905 Alet-les Bains, le lavoir communal alimentĂ© par la source d'eau chaude en 1905 Ă  comparer avec la photo ci-dessous Alet-les Bains, le lavoir communal alimentĂ© par la source d'eau chaude en 2012, on voit ici, les gens viennent toujours chercher l'eau bienfaisante d'Alet. Cette eau d'Alet, je vous en parlerai dans la seconde partie du reportage. Alet-les Bains, la gare en 1925 Alet-les Bains, l'avenue de l'Ă©tablissement thermal et la villa du Parc en 1905 Alet-les Bains, l'Ă©tablissement thermal de la source communale en 1905 Alet-les Bains, le pont du XVII Ăšme siĂšcle en 1950 Alet-les Bains, les ruines d'Ă©vĂȘchĂ© en 1950 Alet-les Bains, une photo prise cĂŽtĂ© Nord avec la porte CadĂšne et les remparts en 1950 Alet-les Bains, Ă  gauche la porte CadĂšne et Ă  doite la rue Malbec en 1905 Alet-les Bains, la grand'rue, celle qui longe les ruines de l'abbaye en 1905 Sachez aussi, qu'il est toujours possible d'y rajouter des infos, des photos, si vous en avez, contactez moi, je me ferai un plaisir de complĂ©ter l'article, Ă  bientĂŽt, l'aventure continue ... Ainsi se termine ce premier reportage, en espĂ©rant qu'il vous aura intĂ©ressĂ©, n'hĂ©sitez pas Ă  laisser vos commentaires ... et revenez me voir ! Vous dĂ©sirez ĂȘtre averti de la parution d'un nouvel article ? Inscrivez-vous sur la Newsletter ICI Eh bien, voilĂ  encore un beau reportage, qui mĂ©rite tous mes remerciements aux internautes photographes qui ont bien voulu partager et grĂące Ă  leurs clichĂ©s, permettent de documenter et de mettre en valeur ce reportage, que je rĂ©alise bĂ©nĂ©volement pour la promotion d'une belle rĂ©gion L'AUDE ! L'aventure continue ...qu'on se le dise !! Sachez qu'il est toujours possible d'y rajouter des infos, des photos, si vous en avez, contactez moi, je me ferai un plaisir de complĂ©ter l'article. Voici mon adresse mail pour m'adresser vos documents ou prendre simplement contact jp Avant de quitter ce site et pour mieux y revenir, profitez-en pour consulter aussi les sommaires du menu, il y a de nombreux sujets variĂ©s, trĂšs intĂ©ressants et instructifs, allez-y, jetez un oeil ! - Votre aide est la bienvenue ! Vous dĂ©sirez participer et me proposer des articles avec ou sans photo. Ce site c'est aussi le vĂŽtre, utilisez cette opportunitĂ©. C'est l'occasion, vous voulez "partager" et faire dĂ©couvrir votre village audois, la rĂ©gion, un itinĂ©raire de rando, ou tout autre sujet qui vous tient Ă  coeur, je me charge du montage et de la prĂ©sentation sur le site ..., Ă©crivez moi, mon adresse email pour me joindre est indiquĂ©e ci-dessus. Il y aura toujours quelque chose sur ce site qui vous surprendra et vous intĂ©ressera. Pour ne pas rater la publication des reportages, c'est simple, inscrivez vous sur la Newsletter, dans le menu de gauche ; pour vous inscrire c'est simple, tapez votre adresse mail et cliquez sur "inscrivez-vous". Je compte sur vous pour pulvĂ©riser le nombre des abonnĂ©s qui progresse de jour en jour ! - L'aventure continue ... avec vous, toujours de plus en plus nombreux et fidĂšles lecteurs. RĂ©alisĂ© par Jean-Pierre LAGACHE - dans DÉCOUVERTE
Rennesles Bains, coquette station thermale est blottie au cƓur d’une vallĂ©e verdoyante dominĂ©e par les Pics de Bugarach et du Cardou. Elle est traversĂ©e par la Salz, tout au longue laquelle jaillissent des sources dont bienfaits sont connue dĂšs l’AntiquitĂ©. Les sources chaudes, au nombre de cinq, produisent une eau dont la
PubliĂ© le 15/05/2015 Ă  1540 , mis Ă  jour le 15/03/2022 Ă  1049 Savourez les charmes de ce village discret qui est aussi l’unique station thermale du dĂ©partement encore en activitĂ©. Connues depuis l’AntiquitĂ©, ses eaux chaudes surgissant Ă  diffĂ©rentes tempĂ©ratures, de 35 Ă  47°C sont recommandĂ©es dans le traitement des maladies rhumatologiques. La minuscule station ne compte pas moins de onze sources, froides et chaudes, surgissant de failles gĂ©ologiques dans le lit de la Sals, la riviĂšre qui traverse le village. Non loin de Rennes, Ă  Sougraine, la source de la Sals se caractĂ©rise par la salinitĂ© de son eau, rĂ©miniscence du lointain passĂ© gĂ©ologique de la rĂ©gion. Il y a 40 millions d’annĂ©es,_la mer recouvrait les lieux Le centre du village est particuliĂšrement pittoresque. La Sals, traversĂ©e de plusieurs ponts, est bordĂ©e par les façades des maisons. En venant d’Arques, la route croise les Bains Doux, une source chaude se dĂ©versant dans la riviĂšre. L’eau Ă  37°C fait le bonheur des amateurs de bain Ă  remous. Les plus frileux lui prĂ©fĂšrent la piscine de l’actuel Ă©tablissement thermal. Ici, aux Bains Forts, la tempĂ©rature de l’eau surgit de terre Ă  47°C ! Elle est bien sĂ»r rafraĂźchie avant d’arriver dans les beaux bassins Ă  ciel ouvert bordĂ©s par l’unique vestige de la pĂ©riode romaine, un beau fragment de cĂ©ramique. Office du tourisme 04 68 69 87 95 et office du tourisme du Pays de Couiza 04 68 69 69 85
Ila été élu aux élections municipales de 2020 pour un mandat de 6 ans. Adresse de la mairie : 11 Grand'rue de la Mairie 11190 Rennes-les-Bains. Téléphone : 04 68 69 87 95. Contact email : mairie.rennes.les.bains@gmail.com. Site officiel de la mairie de Rennes-les-Bains.
6. La source chaude de MĂ©rens-les-Vals dans les PyrĂ©nĂ©es AriĂ©geoises Ces sources chaudes sont accessibles gratuitement dans le village de MĂ©rens-les-Vals. Et on peut y prendre son bain chaud devant une superbe vue ! La vue depuis les sources chaudes sauvages de MĂ©rens-les-Vals 5. La source chaude des Bains doux » de Rennes-les-Bains dans l’Aude Ce sont probablement les sources chaudes sauvages les plus facile d’accĂšs. Il y a plusieurs place de parking. En plus, on voit le bassin d’eau chaude depuis la route en rentrant dans le village. 4. Les sources chaudes de Canaveilles Le moins qu’il y ait Ă  dire sur ces sources chaudes, c’est qu’elles se mĂ©ritent car il faut traverser la riviĂšre gelĂ©e de la TĂȘt pour atteindre les bassins chauds pour s’y baigner. Le bassin le plus chaud des sources sauvages de Canaveilles 3. Les trois bassins d’eau chaude de ThuĂšs Ce sont des bassins amĂ©nagĂ©s par la main de l’homme. La personne qui les a fait, les laisse Ă  la disposition de tous. On remercie cette gĂ©nĂ©reuse personne et on repart des lieux en les laissant tels qu’ils Ă©taient avant notre passage afin que nous puissions continuer de profiter de ses bains. Hiti aux 3 bassins de source d’eau chaude sauvage de ThuĂšs les bains dans les pyrĂ©nĂ©es orientales 2. Les sources chaudes de Prats-Balaguer Probablement, les sources chaudes les plus connues du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es Orientales. Ce sont aussi les plus spectaculaires. Les sources d’eau chaude sauvages de Prats-Balaguer 1. Le canyon d’eau chaude de ThuĂšs Les sources d’eau chaude sauvage les plus insolite ! En effet, il y a deux coins de baignade chaude, un coin avec une cascade d’eau chaude pouvant atteindre les 80°, et un bassin chaud avec une source chaude souterraine. Ces deux sources alimentent un canyon qui rend l’eau tiĂšde tout le long du canyon. Voici ma vidĂ©o de mon top 4 des sources chaudes sauvages dans les PyrĂ©nĂ©es Orientales ! Bon visionnage.

LaSource des Bains Doux à Rennes-les-Bains, dans l'Aude. Cette source naturelle est un coin de nature qui s'éveille au printemps. La faune et la flore y sont riches, les eaux entre 37 et 44° : c'est une des seules sources naturelles encore librement accessible dans l'Aude. 9 /10. Laetitia Reboulleau, Jellyfish France.

Se baigner peut aussi rimer avec se dĂ©tendre, se relaxer, un des objectifs de vos vacances. Pour cela, on vous propose une remĂšde radical... une immersion dans un bain d'eau trĂšs chaude en pleine nature. C'est l'EnvieDePrendreLair de la semaine. L'eau froide pour se rafraĂźchir et se dynamiser, l'eau chaude pour se dĂ©tendre et se relaxer. Dans les pays nordiques la pratique est gĂ©nĂ©ralisĂ©e. En France et particuliĂšrement en Occitanie, nous avons la chance de disposer de plusieurs rĂ©surgences d'eau chaude. La plupart sont exploitĂ©es. Chaque vallĂ©e ou presque des PyrĂ©nĂ©es a son centre de thermoludisme. Mais il reste encore quelques coins sauvages et donc gratuits oĂč il est conseillĂ© de se rendre pour un effet dĂ©tente voici cinq sur le piĂ©mont des PyrĂ©nĂ©es, entre Aude, AriĂšge et PyrĂ©nĂ©es-Orientales. Vous pouvez les situer sur la carte ci-dessous et cliquer sur les icĂŽnes pour avoir des informations source de Prats-Balaguer dans les PyrĂ©nĂ©es-OrientalesLa source jaillit Ă  69 degrĂ©s Celcius. Mais au fil de la pente elle se rafraĂźchit. Si le premier bassin est encore un peu chaud, certains s'y baignent, les vasques suivantes sont de moins en moins chaudes. Cela permet de se refroidir et de retrouver progressivement une tempĂ©rature coprorelle normale. Les sources sont connues pour les initiĂ©s en recherche de ce type de lieux, mais pas encore du grand public. La saison idĂ©ale pour s'y rendre est la fin de l'Ă©tĂ© ou l'automne afin de profiter au maximum de la sĂ©rĂ©nitĂ© du lieu. Comptez une quinzaine de minutes de marche depuis le haut de la colline Ă  quelques centaines de mĂštre du hameau de Prats-Balaguer. Il n'y a plus qu'Ă  profiter des bienfaits de cette baignade. Nous avons testĂ© pour vous et partagĂ© sur le compte Instagram de France 3 Occitanie. La Source des Bains Doux Ă  Rennes-les-Bains dans l'AudeSi la plupart des sources d’eau chaude sont exploitĂ©es, il en reste pourtant une dans l'Aude, naturellement sauvage, oĂč il est possible de se baigner la source des Bains Doux Ă  Renne-les-Bains. Elle est rĂ©putĂ©e pour ses nombreuses proriĂ©tĂ©s curatives notamment pour soulager les rhumatismes ou les problĂšmes articulaires liĂ©s Ă  l'arthrose. La tempĂ©rature de l'eau varie entre 37 °C et 44 °C. Un coin de nature Ă  dĂ©couvrir cet automne. Les eaux sulfureuses de MĂ©rens-les-Vals en AriĂšgeDes vasques faciles Ă  dĂ©busquer car sur le tracĂ© du GR10 au dĂ©part du village de Merens-les-Vals en AriĂšge. Cette source d'eau chaude est petite et relativement peu frĂ©quentĂ©e. Les vasques sont entourĂ©es de quelques arbres qui apportent un peu d'ombre en pleine chaleur. Les petits bassins sont charmants, et l'eau sort de terre Ă  40 °C quelque soit la saison. Comptez environ 20 minutes de marche Ă  pied depuis l'Ă©glise romane. A la fin du parcours laissez vous guider par l'odeur de soufre, elle peut ĂȘtre assez forte certains jours. Eau sulfureuse Merens-les-Vals Les eaux chaudes de Canaveilles-les-Bains dans les PyrĂ©nĂ©es-OrientalesUne eau Ă  60 °C, accessible sans trop de difficultĂ©. Les eaux chaudes de Canaveilles prĂšs de Nyer vous tendent les bras pour un bain totalement gratuit et relaxant. Pas question toutefois de se baigner dans une eau Ă  60 °C, au risque de se brĂ»ler. Les eaux froides de la riviĂšre TĂȘt viennent se mĂ©langer ce qui permet un bain trĂ©s confortable. Les trois vasques sont dĂ©limitĂ©es par des pierres et galets. Les bains de Dorres dans les PyrĂ©nĂ©es-OrientalesLes bains de Dorres sont les moins sauvages et ne sont pas gratuits, mais leur authenticitĂ© en fait l'un des lieux de baignade en eau chaude trĂ©s agrĂ©able. SituĂ©s Ă  1458m d’altitude, les lieux sont utilisĂ©s par les hommes depuis la prĂ©histoire. Les baignoires en granit datent de l'Ă©poque romaine et sont restĂ©es authentiques. La tempĂ©rature de l'eau avoisine les 40 °C toute l’annĂ©e. Choisissez votre baignoire et installez-vous pour un bain thermal avec panorama en prime. Car la vue est incroyable sur les PyrĂ©nĂ©es avec le Cambre d'Aze et le Puigmal en ligne de mire. Le tarif par personne et pour un adulte est de 5,5 euros et de 3,5 euros pour les enfants jusqu'Ă  11 ans. Quelques conseils avant de tenter l'aventure Ces lieux sont fragiles et la surfrĂ©quentation peut rapidement dĂ©tĂ©riorer la qualitĂ© de l'environnement et de l'eau. On vient dans des sources d'eau chaude pour se dĂ©tendre, donc la musique n'est pas une obligation, elle peut dĂ©ranger. Le silence est parfait. Comme partout dans la nature, ramenez vos dĂ©chets et Ă©vitez de pique niquer trop prĂšs de l'eau. Vous trouverez probablement un coin plus conformable aux alentours pour vous sustenter. Respectez toujours le lieu en Ă©vitant de laisser des traces de votre passage et n'emportez pas le dernier maillot de bain achetĂ©. En effet, le soufre aura raison de votre plus jolie tenue. Par ailleurs, les bains sont parfois naturistes donc prĂ©parez-vous Ă  cette Ă©ventualitĂ© et prĂ©venez les plus sensibles.
THERMESDE RENNES-LES-BAINS. RENNES-LES-BAINS. +33 4 68 74 71 00. Email. Site internet. En savoir +. Pour faire ces belles balades, gravir le Bugarach ou suivre les traces de l’AbbĂ© SauniĂšre, il faut ĂȘtre en forme ! On peut s’octroyer des pauses remise en forme dans la petite station, avec les sĂ©jours bien-ĂȘtre qui y sont proposĂ©s
Le Soufre en poudre pour le bain 1 Ă  2 cuillĂšres Ă  soupe de soufre en poudre dans son bain avec du sel un moyen naturel et efficace de combattre la fatigue, les douleurs articulaires, les problĂšmes respiratoires, la grippe ou les coups de froid, de prendre soin de sa peau et de se relaxer. mais encore, Comment Pulveriser du soufre ? Soufre poudre ou Ă  pulvĂ©riser Remplissez le pulvĂ©risateur avec le volume d’eau nĂ©cessaire 3 ou 5 litres Pesez et versez la dose de soufre recommandĂ©e 7,5 g par litre d’eau sur les arbres fruitiers et les lĂ©gumes, et jusqu’à 20 g par litre d’eau sur la vigne. Comment utiliser le soufre pour la peau ? Produit naturel, disponible notamment en poudre ou en version sĂ©chĂ©e, le soufre organique est un alliĂ© indispensable pour prendre soin de votre peau. À appliquer directement sur le corps, aprĂšs la douche, et ce, quotidiennement, il permet entre autres de stimuler la formation de collagĂšne. Quelle eau contient du soufre ? Eaux riches en sulfate HĂ©par 1530 mg/L, Courmayeur 1420 mg/L, Contrex 1187 mg/L , San Pellegrino 476 mg/L, Vittel 336 mg/L. OĂč trouver de l’eau soufrĂ©e ? En France, les principales sources d’eaux sulfureuses sont situĂ©es dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales. Les stations les plus connues de la rĂ©gion sont Ă  Dorres, Ă  Llo, ou encore Ă  Saint-Thomas-les-Bains. D’autres sources d’eaux sulfureuses existent aussi dans les Hautes-Alpes, l’Aude et le Puy-de-DĂŽme. de plus Est-ce que le soufre tue les fourmis ? Vous pourrez aussi pulvĂ©riser une solution créée Ă  base de soufre, rĂ©pulsif puissant contre les fourmis. A employer tout de mĂȘme avec parcimonie car le soufre tend Ă  acidifier le sol, et Ă  appliquer avant la floraison de vos plantes. Pourquoi traiter au soufre ? Le soufre est utilisĂ© au jardin essentiellement pour lutter contre l’oĂŻdium, appelĂ© aussi blanc » en raison des tĂąches blanches poudreuses qui caractĂ©risent ce champignon. Comment rendre le soufre mouillable ? Conditions favorisant le traitement Un ensoleillement optimal la sublimation du soufre passage de l’état solide Ă  l’état gazeux est amĂ©liorĂ©e par une lumiĂšre franche. 
 Des tempĂ©ratures clĂ©mentes le soufre agit de façon plus efficace lorsque la tempĂ©rature se situe entre 22 et 25 degrĂ©s. Comment utiliser le soufre sur le visage ? Pour utiliser un savon au soufre, il suffit de mouiller la peau et de faire mousser le savon sur les zones prĂ©sentant une inflammation dermatologique acnĂ©, eczĂ©ma, psoriasis, dermite sĂ©borrhĂ©ique, etc.. Rince ensuite abondamment Ă  l’eau claire comme tu le ferais pour un savon classique. Comment utiliser le soufre en poudre ? En prĂ©vention contre l’oĂŻdium, le soufre demande une application prĂ©coce, juste avant le dĂ©bourrement. Employer une dose de poudre de 250 g pour 100 mÂČ afin de moins perturber la pollinisation et limiter la coulure. En mouillable, la dose prĂ©conisĂ©e est de 300 g/l. Comment utiliser le soufre jaune ? Le soufre est un minĂ©ral jaune utilisĂ© depuis des millĂ©naires comme traitement contre certaines maladies. Ces vertus fongicides lui procurent une efficacitĂ© contre les champignons parasites s’attaquant aux plantes. Le soufre est Ă©galement connu pour ĂȘtre un bon dĂ©sinfectant naturel. Quelles sont les eaux sans nitrates ? Certaines eaux minĂ©rales garantissent une teneur nulle en nitrates comme par exemple Wattwiller, Saint Antonin ou Aquarel. Eaux Ă  teneur faible en nitrates Evian 1mg/L, Vittel 4,5mg/L, Contrex 2,7mg/L. Pour exemple, l’eau du robinet de Paris contient 15 Ă  48 mg/L de nitrates. Quelles sont les eaux sulfatĂ©es ? Les eaux sulfatĂ©es sont constituĂ©es de soufre sous forme de sulfates. Ces eaux se trouvent dans les Vosges, dans les Alpes et dans le nord des PyrĂ©nĂ©es. Quel est l’eau la plus riche en calcium ? Les eaux riches en calcium sont HĂ©par 549 mg/L, Courmayeur 576 mg/L, Contrex 468 mg/L, Salvetat 253 mg/L, QuĂ©zac 170 mg/L, Saint Amand 230 mg/L, San Pellegrino 174 mg/L, Vittel 240 mg/L, Badoit 190 mg/L, Arvie 170 mg/L
 OĂč trouver des sources d’eau chaude naturelles et gratuites en France ? 7 sources d’eau chaude gratuites ou presque en France Plan de Phazy, Guillestre, Hautes Alpes. 
 Les Sources d’eau chaude de Prats-Balaguer, PyrĂ©nĂ©es Orientales. 
 La Source des Bains Doux Ă  Rennes-les-Bains, Aude. 
 Les Bains de Dorres, PyrĂ©nĂ©es Orientales. 
 La Source Chaude de MĂ©rens-les-Vals, PyrĂ©nĂ©es Orientales. Comment traiter l’eau sulfureuse ? Le traitement classique contre les bactĂ©ries sulfatorĂ©ductrices consiste Ă  utiliser la chloration concentrĂ©e. Il n’existe actuellement aucune analyse disponible en ce qui concerne les bactĂ©ries sulfatorĂ©ductrices. Comment enlever l’odeur de soufre dans l’eau ? La concentration toxique du sulfure d’hydrogĂšne est beaucoup plus grande que nĂ©cessaire pour produire le niveau d’odeur. L’eau de Javel contient du chlore, qui peut ĂȘtre utilisĂ©e pour supprimer l’odeur du sulfure d’hydrogĂšne Ă  partir de l’eau de puits, ainsi que les bactĂ©ries qui la produit. Quel est le produit le plus efficace contre les fourmis ? Citron les fourmis dĂ©testent l’aciditĂ© du citron. PlacĂ©s aux endroits stratĂ©giques, des demi-citrons un peu moisis, c’est encore mieux les feront fuir. Vinaigre blanc vaporisez du vinaigre blanc directement sur le passage des fourmis, ou encore sur les encadrements de fenĂȘtres et de portes ou le bas des murs. Quel est le meilleur produit pour tuer les fourmis ? Le vinaigre, le marc de cafĂ©, la craie ou le citron ont un effet repoussant sur les fourmis. Ils empĂȘchent les insectes de s’introduire dans une zone donnĂ©e. Pour dĂ©truire le nid, versez-y un mĂ©lange d’eau et de liquide vaisselle. Quel produit pour tuer des fourmis ? 11 mĂ©thodes naturelles pour vous dĂ©barrasser des fourmis sans les tuer 1 – Le marc de cafĂ© DĂ©posez du marc de cafĂ© au bas des murs, au sol ou sur des soucoupes. 
 2 – La craie. 
 3 – Le citron. 
 4 – La lavande. 
 5 – La cannelle. 
 6 – Le bicarbonate de soude. 
 7 – Le vinaigre blanc. 
 8 – La menthe poivrĂ©e. Quand traiter les arbres fruitiers au soufre ? Le traitement Ă  base de soufre dĂ©marre dĂšs l’apparition des boutons floraux, du mois de mars au mois de mai, lorsque les conditions climatiques ont Ă©tĂ© propices au dĂ©veloppement de la maladie, Ă  savoir aprĂšs une pĂ©riode de tempĂ©ratures douces 15 Ă  20 °C et de forte humiditĂ©. Quand traiter les rosiers au soufre ? Solution et traitement Ramasser et brĂ»ler les feuilles malades tombĂ©es au sol. Traiter le rosier avec ce produit Maladie des Rosiers » Ă  base de soufre prĂ©ventivement, et tous les 15 jours Ă  partir de juin. Pourquoi bouillie bordelaise ? La bouillie bordelaise est un fongicide polyvalent utilisĂ© depuis trĂšs longtemps pour lutter contre les maladies apparaissant dans le jardin et plus particuliĂšrement dans le potager. Elle est constituĂ©e de chaux et de sulfate de cuivre. N’oubliez pas de partager l’article !
MAISQUE FONT-ILS ?Nous sommes Ă  RENNES. Non, non pas en Bretagne ! Nous sommes au cƓur du pays cathares Ă  quelques kilomĂštres de Carcassonne. Nous sommes d PubliĂ© le 27/06/2013 Ă  1540 , mis Ă  jour le 27/06/2016 Ă  1358 Entre MĂ©diterranĂ©e et PyrĂ©nĂ©es, Ă  50km de Carcassonne et Ă  25km de Limoux, Rennes-Les-Bains, constitue vĂ©ritablement la porte des CorbiĂšres. SituĂ©e dans la Haute-VallĂ©e de l'Aude, dans le cadre agrĂ©able de la vallĂ©e de la Sals, Ă  310 mĂštres d'altitude, cette petite citĂ© thermale de caractĂšre sait conjuguer le bienfait de ses eaux au plaisir de la dĂ©couverte de l'arriĂšre-pays audois. Son climat doux et stable et ses sources froides et chaudes sont reconnus depuis fort longtemps pour leurs vertus thĂ©rapeutiques. Notamment en rhumatologie. La station de Rennes-Les-Bains vous offre en plus des cures mĂ©dicalisĂ©es, un panel complet de prestations dĂ©diĂ©es Ă  la dĂ©tente et au bien-ĂȘtre. Vous pourrez tester notamment une piscine chauffĂ©e aux eaux thermales, un jacuzzi, des cours d'aquagym, ainsi qu'un espace beautĂ© pour prendre soin de votre visage et de votre corps. Les thermes de Rennes-Les-Bains vous proposent aussi ses hĂ©bergements dans la rĂ©sidence la Reine, situĂ©s au sein du complexe thermal. Les tarifs proposĂ©s par les thermes de Rennes-Les-Bains ont aussi la particularitĂ© d'ĂȘtre trĂšs abordables. Vous pourrez Ă©galement tester l'espace de remise en forme. Il vous propose sa salle de musculation et de cardio-training, sa piscine extĂ©rieure d'eau thermale chaude qui permet de se relaxer et de profiter des bienfaits des Ă©lĂ©ments contenus dans l'eau de Rennes-Les-Bains calcium, fer, magnĂ©sium. Tous les joursTout publicAdulte Ă  partir de 13 ans, 5,50 €. Enfants de 3 Ă  12 ans, 2,50 €. Gratuit pour les moins de 3 ans. Ouverture de la piscine, tous les jours, de 10 heures Ă  20 heuresContacts0 468 747 100 Infos Pratiques Adresse 11190 Rennes-les-Bains . 733 385 362 263 536 640 198 475

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