parANPER. Adhésion valable du 02 janvier 2020 au 30 décembre 2030. Choix de l'adhésion. Adhérents. Coordonnées. Récapitulatif. Membre actif Etudiant.Activité Projet porté contribuer à la protection, à la conservation de l'eau et à l'ensemble de la biodiversité des milieux aquatiques et de leurs habitats ; lutter y compris en justice, contre toute forme de pollution Ce projet s'inscrit de maniÚre plus générale dans le thÚme Environnement, cadre de vie - Les associations de ce domaine dans le département Commune Lux 21120 Historique Les évÚnements marquants de l'association 07/12/2015 - Création de l'association 11/04/2022 - DerniÚre déclaration en date de l'association 14/04/2022 - DerniÚre mise à jour de l'association Administration Identifiants Numéro RNA L'identifiant dans le Répertoire National des Associations RNA W631000755 Le numéro RNA identifie l'association dans le répertoire waldec et dans le Répertoire National des Associations RNA, ce répertoire recense les associations en remplacement du waldec depuis 2010 et ce numéro permet d'effectuer les différentes démarches administratives de l'association. Numéro RUP L'identifiant pour les associations reconnues d'utilité publique Le numéro RUP est l'identifiant attribué aux associations reconnues d'utilité publique. Identifiant historique L'identifiant historique de l'association Ce numéro d'identification fait partie de la nomenclature historique des associations qui a été remplacé par le numéro waldec. Forme Code du site gestionnaire de l'association Préfecture ou Sous-préfecture 212P Nature de l'association Reconnue d'Utilitée Publique R Groupement Simple, Union, Fédération Simple S Observation du waldec Aucune Position Active, Dissoute, Supprimée Active A Publication sur le web Oui 1 Site web déclaré au waldec Aucun
RegroupĂ©s en cinq principales organisations, plus de 2500 naturalistes demandent une rĂ©forme de la PAC qui nâencourage plus lâintensification des pratiques agricoles. Les populations dâinsectes se sont effondrĂ©es de 76% entre 1989 et 2016., rĂ©sument les cinq organisations scientifiques, dont lâUnion europĂ©enne des ornithologues et la Fondation europĂ©enne des mammifĂšres. Une augmentation des pesticides et des frĂ©quences de fauche, lâexpansion de lâirrigation et la destruction des pĂąturages . Ces organisations rappellent aux eurodĂ©putĂ©s quâentre 1980 et 2015 lâagriculture intensive a entraĂźnĂ© la diminution de 55% des oiseaux europĂ©ens en milieu agricole, et 76% des insectes entre 1989 et 2016. Dans leur rĂ©sumĂ©, ces organisations dĂ©clarent que La PAC Politique Agricole Commune a conduit Ă une intensification des pratiques agricoles, une homogĂ©nĂ©isation des paysages, une augmentation des pesticides et des frĂ©quences de fauche, lâexpansion de lâirrigation et la destruction des pĂąturages ». CrĂ©dit photo JPJ FĂ©vrier 2019 Verdissement, ou green washing » ? Des aides financiĂšres spĂ©cifiques pour la biodiversitĂ© dans les exploitations peuvent faire du pĂąturage extensif une option viable et compĂ©titive pour les agriculteurs » Ils rappellent dans leur lettre ouverte adressĂ©e ce 5 novembre aux eurodĂ©putĂ©s que le pseudo-verdissement engagĂ© depuis 2014 nâa pas eu dâeffets notables pour enrayer ce dĂ©clin, en particulier parce que les reprĂ©sentants du secteur de lâagro-business ont monopolisĂ© les nĂ©gociations. Au final, les mesures agro-environnementales du âpremier pilierââ ont eu peu de rĂ©sultats en matiĂšre de conservation de la biodiversitĂ©. La cour des comptes europĂ©enne a dĂ©jĂ relevĂ© en 2018 dans son analyse des perspectives de la PAC post-2020 que le texte proposĂ© actuellement nâenvisage pas une vĂ©ritable rĂ©forme de la PAC et risque mĂȘme de rĂ©duire ses ambitions ». Les associations proposent des mesures ciblĂ©es au profit des petites exploitations pratiquant une agriculture responsable pour maintenir des terres Ă haute valeur Ă©cologique ». Des aides financiĂšres spĂ©cifiques pour la biodiversitĂ© dans les exploitations peuvent faire du pĂąturage extensif une option viable et compĂ©titive pour les agriculteurs ». voir le communiquĂ© de presse de la confĂ©dĂ©ration Paysanne Selon Harriet Bradley, de BirdLife Europe, Les preuves scientifiques parlent dâelles-mĂȘmes. Lâagriculture intensive tue la nature. Si la PAC nâest pas fondamentalement rĂ©formĂ©e en faveur de la nature, les promesses dâune Green Deal europĂ©en pour la biodiversitĂ© et le climat resteront lettre morte ». De son cĂŽtĂ© France-stratĂ©gie demande que soient revues les aides directes en les attribuant selon le nombre dâemplois des exploitations et non selon le nombre dâhectares. ANPER obtient la condamnation dâun pĂȘcheur Lors de lâaudience rĂ©servĂ©e aux affaires de braconnage du 17 septembre dernier au tribunal correctionnel de Nantes, ANPER a obtenu la condamnation dâun pĂȘcheur avait Ă©tĂ© surpris en flagrant dĂ©lit par les agents de lâAFB en dĂ©cembre 2018 avec un saumon dans son bateau, dans lâestuaire de la Loire Ouest France, Ă©dition du 21 dĂ©cembre 2018. La Loire Saumon de la Loire Ă Vichy ANPER et une autre association, elle aussi partie civile obtiennent donc des dommages et intĂ©rĂȘts. Nous regrettons toutefois la lĂ©gĂšretĂ© des sanctions pĂ©nales, puisque le tribunal nâa pas complĂštement suivi le parquet et est restĂ© relativement conciliant 800 euros dâamende. En revanche, il a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă verser Ă chacune des associations 1000⏠au titre du prĂ©judice Ă©cologique100 ⏠au titre du prĂ©judice moral700⏠au titre de lâarticle 475-1 du code de procĂ©dure civile Dâautres affaires sont en cours sur des actes de braconnages, de pollutions et autres. Une Ă©volution climatique en cours ? Incidences sur la rĂ©partition des populations piscicoles, le cas de la Loue. Jean-Pierre HEROLD Usine hydroĂ©lectrique de Chatillon -Rurey le 18-09-19 La sĂ©rie est dĂ©jĂ longue 2019 aprĂšs 2018 et 2017, 2011, 2003 ! Voici une rĂ©pĂ©tition de phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©orologiques qui traduisent, dâaprĂšs les climatologues Bichet et coll. 2015 une augmentation dans le long terme des tempĂ©ratures moyennes rĂ©gionales. Celles-ci ont des consĂ©quences mesurables sur les dĂ©bits moyens mensuels des riviĂšres de Bourgogne Franche-ComtĂ© qui sont consultables en ligne sur le site Hydroreel le serveur de donnĂ©es hydromĂ©triques en temps rĂ©el et en archives depuis les annĂ©es 50 exemple Pour la Loue Ă Chenecey-Buillon En 2018, de la mi-juin jusquâĂ la fin octobre, les rares prĂ©cipitations orageuses ont reprĂ©sentĂ© souvent moins du dixiĂšme du volume moyen des pluies selon les secteurs concernĂ©s dans notre dĂ©partement. En 2019, dĂšs le 5 juillet lâalerte sĂ©cheresse a Ă©tĂ© dĂ©clenchĂ©e par la PrĂ©fecture du Doubs. Fin aoĂ»t les restrictions dâusage de lâeau Ă©taient encore en cours. Durant la mĂȘme pĂ©riode, les tempĂ©ratures aussi bien diurnes que nocturnes ont atteint des records sur des durĂ©es importantes, et en 2019 des valeurs supĂ©rieures Ă 35 °C ont Ă©tĂ© quotidiennes pendant plus dâune semaine au mois de juin, une situation tout Ă fait inĂ©dite. Des tempĂ©ratures Ă©levĂ©es ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es jusquâĂ la fin du mois dâaoĂ»t. plus de vingt communes ont dĂ» faire appel Ă des transporteurs pour alimenter leurs chĂąteaux dâeau Ă sec » Les effets de ces amplitudes thermiques sur le rĂ©gime des cours dâeau ont Ă©tĂ© plus marquĂ©s encore que ceux de lâannĂ©e de la canicule historique 2003. Ils entraĂźnent des contraintes nouvelles sur le cours de toutes les riviĂšres de lâarc jurassien et des zones karstiques de la rĂ©gion. Ainsi, lâexemple trĂšs remarquĂ© de lâassĂ©chement total du Doubs Ă lâaval de Pontarlier entre juillet et octobre 2018 a Ă©tĂ© trĂšs commentĂ© par les mĂ©dia et les populations locales, dont certaines ont subi des dĂ©ficits hydriques perturbateurs plus de vingt communes ont dĂ» faire appel Ă des transporteurs pour alimenter leurs chĂąteaux dâeau Ă sec pendant plusieurs semaines. La situation sâest reproduite dĂ©but juillet 2019. Dans le cas de la Loue, prĂ©sentĂ© ici, les effets combinĂ©s des canicules et des sĂ©cheresses montrent un impact sur lâĂ©volution et la rĂ©partition des populations piscicoles de cette riviĂšre qui a Ă©tĂ© longtemps considĂ©rĂ©e come un fleuron des cours dâeau français Ă salmonidĂ©s, truites et ombres, et donc frĂ©quentĂ©e et admirĂ©e par les pĂȘcheurs sportifs de tous horizons. LIRE LA SUITE DE CET ARTICLE Le gouvernement français a annoncĂ© quâil autoriserait la mise en place dâune soixantaine de retenues dâeau sur le territoire dâici 2022 afin de mieux gĂ©rer lâirrigation des terres agricoles. Discours relayĂ© par le ministre de lâAgriculture, Didier Guillaume On ne va pas regarder la pluie tomber du ciel pendant six mois et la chercher les six autres mois de lâannĂ©e . » plans dâeau du dĂ©partement Ă©vaporent annuellement lâĂ©quivalent de la consommation dâeau potable du dĂ©partement Ainsi donc aprĂšs avoir vidĂ© les nappes phrĂ©atiques et instaurĂ© un systĂšme de production qui les empĂȘche de se recharger, il sâagirait de stocker ce qui tombe et donc pas dĂ©finition dâen priver ce qui se trouve Ă lâaval. Câest ainsi que des fleuves comme le Colorado nâarrivent plus jusquâĂ la mer, phĂ©nomĂšne dâappropriation et de dĂ©sertification qui commence Ă affecter maintenant lâEspagne oĂč dâimmenses rĂ©servoirs, aprĂšs avoir privĂ© les cours dâeau de 50 Ă 75% de leur dĂ©bit naturel, Ă©vaporent dĂ©sormais plus dâeau quâils nâen fournissent. En France le Conseil rĂ©gional de Bretagne a constatĂ© que les plans dâeau du dĂ©partement Ă©vaporent annuellement lâĂ©quivalent de la consommation dâeau potable du dĂ©partement. Est-ce le modĂšle que nous voulons ? Et pour quels usages ? Si lâagriculture a besoin dâeau, les cultures intensives destinĂ©es Ă lâalimentation animale, outre quâelles constituent un gĂąchis de protĂ©ines et dâ faut en moyenne 19 protĂ©ines vĂ©gĂ©tales pour âfaireââ une protĂ©ine animale, sans parler de la consommation dâeau, de pĂ©trole, dâintrants etc. Les retenues pour ces cultures prolongent un mode de production polluant qui dĂ©truit les sols. Elles ne seront jamais en mesure de combler un dĂ©ficit de pluviomĂ©trie qui, dâexceptionnel, est devenu structurel et fragilise ces productions. Ajoutons Ă cela que ces crĂ©ations de retenues, financĂ©es jusquâĂ 90% par de lâargent public, ne bĂ©nĂ©ficient quâĂ une faible partie des agriculteurs, ce qui est contraire au principe dâĂ©galitĂ© entre les citoyens et accroit encore la concentration des exploitations, moteur de la disparition des agriculteurs. Les solutions se trouvent essentiellement dans la prĂ©servation des zones humides dâune part, et dâautre part dans un changement profond des mĂ©thodes agricoles. Cela permettra Ă nouveau aux sols de retenir lâeau et dâatteindre les nappes voulez en savoir plus sur le sujet? Les sols vivants Sabine Martin de FNE Midi PyrĂ©nĂ©es Vous pouvez accompagner ces changements Epandage de pesticides Bien que mal conçue dans ses attentes, et en insistant sur le fait que seul peut ĂȘtre efficace un changement de paradigme Plus de pesticides de synthĂšse, Ă quelque distance que ce soit. Nous pouvons accompagner ces changements, mais seulement avec des rĂšgles et des Ă©chĂ©anciers rigoureux. Il ne sâagit plus de se satisfaire de la situation actuelle. La profession agricole veut bien que tout bouge, Ă condition que rien ne change ! La campagne nâest plus constituĂ©e dâune succession de fermes, et lâoccupation actuelle des sols impose de respecter les habitations qui les jouxtent et qui sont occupĂ©es par des gens qui sont aussi consommateurs des produits agricoles Une agriculture sans pesticides ne conduira pas Ă rĂ©duire les surfaces agricoles utiles au niveau national mais permettra de rĂ©duire les troubles de la santĂ© liĂ©s Ă leur utilisation. RĂ©pondez-donc Ă cette consultation publique » Elle vous concerne! En effet les distances rĂšglementaires proposĂ©es sont inadmissibles! En 2008 on a vu apparaĂźtre dans la presse et sur la toile, une notation de la transparence des ONG, faite par une fondation du nom de Prometheus. Certaines associations y obtenaient la note de 0 sur 10, et 1 sur 10 lâannĂ©e suivante. Les associations sont quasiment des sociĂ©tĂ©s secrĂštes Si lâon regarde dans le dĂ©tail la procĂ©dure, on sâaperçoit que cette fondation a notĂ© les ONG non pas en se basant sur leur fonctionnement rĂ©el ou leurs assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales et le contrĂŽle qui en est fait par lâadministration, mais en se basant sur leur site internet, jugeant ainsi les ONG sur leur apparence. Prometheus sans accent car il sâagit dâun âThink Tankââ Ă lâamĂ©ricaine est un groupe créé Ă lâinitiative du dĂ©putĂ© du Tarn Bernard Carayon UMP et regroupant des industriels comme les laboratoires SERVIER Mediator, EADS, Dassault aviation ou AREVA, modĂšles de transparence sâil en est. Et câest ainsi quâon tente de faire passer des associations pour des groupes opaques, quasiment des sociĂ©tĂ©s secrĂštes. Mais il est vrai que chacun voit le monde Ă son image. Non, les associations ne sont pas des sociĂ©tĂ©s secrĂštes, mĂȘme si certains de leurs dĂ©tracteurs mĂ©ritent quelques coups de pieds occultes DĂ©putĂ©e de Seine et Marne Madame la DĂ©putĂ©e, Nous venons de prendre connaissance de votre projet de loi. Nous ne discuterons pas les arguments de fond prĂ©sentĂ©s en prĂ©ambule trop dâĂ©tudes, de retours dâexpĂ©riences et de donnĂ©es scientifiques les ont dĂ©jĂ invalidĂ©s. Mais il est vrai que des officines fabriquent Ă lâheure actuelle des donnĂ©es biaisĂ©es et utilisent des chercheurs en-dehors de leur domaine de compĂ©tence dans le but de propager le doute, employant en matiĂšre de continuitĂ© Ă©cologique les mĂȘmes mĂ©thodes que celles utilisĂ©es par les climatosceptiques. On se trouve alors face Ă des personnes qui prennent leur intĂ©rĂȘt personnel ou leur ambition pour une vĂ©ritĂ© universelle et la science pour une simple opinion. Tout dâabord il nâexiste pas dâĂ©nergie âpropreââ. Toutes les Ă©nergies ont un impact, plus ou moins important et donc plus ou moins justifiable. Il sâagit dâun Ă©quilibre acceptable entre les atteintes aux milieux naturels et les quantitĂ©s dâĂ©nergie produite. Les grands barrages malgrĂ© leurs nuisances en sont un bon exemple. Un argument toutefois mĂ©rite quâon sây arrĂȘte il sâagit du patrimoine. Cela englobe le bĂąti, mais aussi la machinerie, les vannages etc. Il nây a pas dâobjection Ă utiliser une roue de moulin pour faire fonctionner un alternateur et produire de lâĂ©nergie, pour autant que lâusinier respecte les devoirs liĂ©s Ă ses droits. Mais en quoi est-il âpatrimonialââ de supprimer une roue de moulin et le mĂ©canisme correspondant pour les remplacer par une turbine ? Câest sâappuyer sur la notion de patrimoine pour dĂ©voyer Ă la fois la notion et le patrimoine ! Sans parler du fait quâun moulin ne fonctionnait autrefois ni toute la journĂ©e, ni toute la semaine, ni toute lâannĂ©e, contrairement Ă une microcentrale, qui cherche Ă maximiser sa production. MalgrĂ© leurs impacts rĂ©els sur le milieu disparition immĂ©diate de certaines espĂšces, ce qui est dĂ©sormais assez bien renseignĂ© les anciens moulins rĂ©pondaient Ă une nĂ©cessitĂ©. Mais dĂšs leur crĂ©ation ils ont Ă©tĂ© soumis Ă des obligations de continuitĂ©, qui ont Ă©tĂ© oubliĂ©es Ă partir de lâabandon du moulinage qui justifiait leurs droits dâeau. On voit bien oĂč certains propriĂ©taires dâanciens moulins veulent en venir Ă travers votre projet conserver les droits dâeau droits dâusage sans avoir Ă en assumer les devoirs, et pour bon nombre dâentre faire entĂ©riner leur non-respect de la rĂ©glementation. Quant Ă la liste 1, celle-ci a Ă©tĂ© faite sur des critĂšres objectifs. Votre projet est un encouragement Ă dĂ©grader la qualitĂ© de cours dâeau afin dâobtenir leur dĂ©classement. Il est contraire Ă la DCE qui privilĂ©gie la reconquĂȘte de cette qualitĂ©. Nous ne voulons pas croire que vous ayez un quelconque intĂ©rĂȘt personnel direct ou indirect dans ce projet, et nous contentons de noter que, si un parlementaire est censĂ© sic reprendre et mettre en forme des demandes correspondant Ă lâintĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral de la population, il ne consiste pas pour autant Ă relayer un argumentaire fallacieux fourni clĂ©s en main » par des lobbys, car dans ce cas cela relĂšverait dâun parlementarisme dâĂ©cole hĂŽteliĂšre, consistant Ă âpasser les platsââ pour des demandes catĂ©gorielles contraires Ă lâintĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Nous nâavons pas avancĂ© dâarguments de droit pour rĂ©pondre aux promoteurs de ce projet, nous rĂ©servant en tant que de besoin de faire valoir les garanties offertes par les lĂ©gislations française et surtout europĂ©enne. ANPER-TOS
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Un pompier combat un feu de forĂȘt dans le village de Verdelhos. KEYSTONE/EPA/MIGUEL PEREIRA DA SILVA sda-ats Ce contenu a Ă©tĂ© publiĂ© le 11 aoĂ»t 2022 - 1747 Keystone-ATS Un feu de forĂȘt mobilisant encore jeudi quelque 1500 pompiers a dĂ©truit environ 10'000 hectares de vĂ©gĂ©tation dans la rĂ©gion montagneuse du parc naturel de la Serra da Estrela. Celle-ci est situĂ©e dans le centre du Portugal. Estimation encore provisoire fournie par le systĂšme europĂ©en d'information sur les feux de forĂȘt EFFIS, la surface brĂ»lĂ©e par cet incendie, qui s'est dĂ©clarĂ© samedi dans la commune de Covilha, correspond au dixiĂšme des 100'000 hectares de ce gĂ©o-parc mondial classĂ© par l'Unesco en 2020. Jeudi, des colonnes de fumĂ©e continuaient de s'Ă©lever au-dessus des monts boisĂ©s du cĂŽtĂ© est de la ville de Manteigas, oĂč l'on entendait le va-et-vient des hĂ©licoptĂšres bombardiers d'eau qui s'efforçaient de ralentir la progression des flammes. "Le feu reste actif malgrĂ© une Ă©volution favorable", a commentĂ© le commandant de la protection civile Miguel Cruz lors d'un point presse Ă la mi-journĂ©e. Pins calcinĂ©s Depuis samedi, plusieurs versants des montagnes environnantes ont Ă©tĂ© totalement noircis par le feu, Ă©tant dĂ©sormais recouvertes de pins calcinĂ©s. "C'est un peu le dĂ©sarroi quand on voit ce paysage. Ăa donne presque envie de pleurer", tĂ©moigne Ă l'AFP Jonathan Demolin, un touriste français de 35 ans venu de la rĂ©gion d'OrlĂ©ans pour passer des vacances dans la rĂ©gion natale de ses beaux-parents. Selon les autoritĂ©s, l'incendie a fait onze blessĂ©s lĂ©gers parmi les pompiers. Un camping et une plage fluviale ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s mercredi et, au total, 26 personnes ont Ă©tĂ© temporairement dĂ©placĂ©es de leurs maisons et deux rĂ©sidences secondaires ont Ă©tĂ© endommagĂ©es. Protection civile critiquĂ©e Dans le village voisin de Verdelhos, atteint par l'incendie mardi, les habitants ont vĂ©cu des moments de panique. "Le feu est arrivĂ© de toutes parts. On aurait dit qu'il allait engloutir Verdelhos. C'Ă©tait horrible", se souvient Sandra Marcelino, propriĂ©taire d'un cafĂ© ĂągĂ© de 43 ans. Comme elle, de nombreux riverains se montraient trĂšs critiques envers le commandement de la protection civile pour ne pas avoir su Ă©viter la propagation du feu sur la plus haute montagne du territoire continental portugais, qui culmine Ă quelque 2000 mĂštres. Le maire de Manteigas, Flavio Massano, a Ă©galement critiquĂ© les secours, les accusant d'avoir concentrĂ© leurs efforts dans la protection des zones oĂč est passĂ© ce week-end le tour cycliste du Portugal, au dĂ©triment de la forĂȘt. Dans un communiquĂ©, le ministĂšre de l'IntĂ©rieur a reconnu qu'il faudrait analyser la gestion des opĂ©rations. "Abandon des forĂȘts" La biodiversitĂ© du parc naturel de la Serra da Estrela est "la premiĂšre victime" de ces incendies, a regrettĂ© l'association de dĂ©fense de l'environnement Quercus, estimant que ces incendies sont notamment le rĂ©sultat d'un "abandon des forĂȘts". Le Portugal, qui connaĂźt cette annĂ©e une sĂ©cheresse exceptionnelle, a par ailleurs connu le mois de juillet le plus chaud depuis prĂšs d'un siĂšcle, selon l'institut mĂ©tĂ©orologique national. Depuis le dĂ©but de l'annĂ©e, quelque 74'000 hectares sont dĂ©jĂ partis en fumĂ©e, selon les derniĂšres estimations de l'Institut pour la conservation de la nature et des forĂȘts ICNF.
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