Encouragerla vie contemplative. Le pape François a visité en privé un monastère de clarisses, à Vallegloria, dans la commune de Spello (PG), à quelque 160 km de Rome, ce 11 janvier 2019. En annonçant ce déplacement, le directeur intérim du Bureau de presse du Saint-Siège, Alessandro Gisotti, a précisé que le pape souhaitait par ce J'ai envie de tout quitte pour entrer dans un monastère peu importe la religion chrétienne, bouddhiste...etc.C'est possible de faire ça de nos jours ? Oui ... mais pourquoi ? c'est nul la vie de moine Le démon du monastère Le monde moderne me fatigue. Une vie de tranquillité, de travail et de prière me serait bénéfique. La vie de moine est vraiment très intéressante, surtout en étant bouddhiste, mais bon pour y aller tu doit prendre un avion jusqu'en chine + rouler en voiture vers les montagne+ payer un guide et aller au monastère J'aurais pu choisir j'aurais été moine bouddhiste ou élevé dans une école d'art martiaux asiatique J'ai 18 ans, pourquoi ? Ça peut être une bonne idée mais c'est ça ne l'est pas, tu en a peut être marre de ce monde mais aller dans un monastère maintenant c'est trop tard Là bas les enfants sont formés dès leur plus jeune âge. Je pense que tu va vite regretter cette vie si tu n'est pas prêt dès l'enfance. Sors un peu dehors, va voir un endroit ou un parc ou tu peut te reposer calmement Je pratique déjà la contemplation en pleine nature, mais ça ne me suffit pas Notre société actuelle me rebute plus que tout, je veux vivre en paix, seul dans un endroit isolé du monde moderne Alors si tel est ton choix, je ne peut que te conseiller de choisir celle qui te convient le mieux. Non mais un monastère bouddhiste serait trop compliqué, il me faudrait tout apprendre, en commençant par la langue...etc Je cherche toujours l'endroit parfais. Essaie de travailler pendant un an et ensuite, fait une cure en voyageant a travers le monde Victime de harcèlement en ligne comment réagir ? Letransept et le chœur de la collégiale ont été transformés entre les XIIIème et XVème siècle, laissant alors le style gothique faire son entrée dans l’église. La collégiale n’est pas juste un lieu de culte mais un véritable lieu de vie pour la communauté. Rendez-vous dans le jardin du cloître afin d’observer le monastère 1 J'ai une question que me taraude en tant que catholique mariée à un musulman un musulman a-t-il le droit d'entrer dans une église pour assister à un mariage ou à un enterrement chrétien? Mon mari me dit qu'il n'a pas le droit mais moi je me pose des questions car nous croyons et nous aimons Dieu, ce même Dieu qui nous lie entre juif, chrétien et musulman et l'église représente la maison de Dieu donc si mon mari est croyant, il me semble qu'il est la bienvenue dans une église, quelque soit sa religion. Oui ? Non ? Qu'en pensez-vous ? Que dit le Coran là dessus ? 2 En voilà une question qu'elle est bonne... Il y avait déjà "Est-il permis de serrer la main à une femme", "Est-il permis de se laver les dents pendant le ramadan", "est-il permis de ne pas porter la barbe", et voici à présent de quoi compléter dignement cette suite de questions existentielles et ô combien essentielles au devenir du monde. Je les envie, les savants, d'être sollicités en permanence pour autoriser ou interdire tous les faits et gestes de la vie quotidienne qu'on ne peut bien sûr trancher par nous-mêmes, perclus de notre pauvre insuffisance à déterminer par nous-mêmes ce qui est bon ou pas... Quel beau métier. 3 J'ai une question que me taraude en tant que catholique mariée à un musulman un musulman a-t-il le droit d'entrer dans une église pour assister à un mariage ou à un enterrement chrétien? Mon mari me dit qu'il n'a pas le droit mais moi je me pose des questions car nous croyons et nous aimons Dieu, ce même Dieu qui nous lie entre juif, chrétien et musulman et l'église représente la maison de Dieu donc si mon mari est croyant, il me semble qu'il est la bienvenue dans une église, quelque soit sa religion. Oui ? Non ? Qu'en pensez-vous ? Que dit le Coran là dessus ? T'as qu'à lui dire que quand c'est pour picoler ou s'adonner à ses passions, là il est tout de suite moins regardant sur les commandements de Dieu, l'hypocrite. 4 J'ai une question que me taraude en tant que catholique mariée à un musulman un musulman a-t-il le droit d'entrer dans une église pour assister à un mariage ou à un enterrement chrétien? Mon mari me dit qu'il n'a pas le droit mais moi je me pose des questions car nous croyons et nous aimons Dieu, ce même Dieu qui nous lie entre juif, chrétien et musulman et l'église représente la maison de Dieu donc si mon mari est croyant, il me semble qu'il est la bienvenue dans une église, quelque soit sa religion. Oui ? Non ? Qu'en pensez-vous ? Que dit le Coran là dessus ? Dieu Seul sait pour ta question, les avis de savants divergent. Sinon ton mari est un bel hypocrite quand même, boire comme un trou et jouer aux jeux est-ce moins grave que de rentrer dans une église sans intention de prier ?? Je ne pense pas.... 5 J'ai une question que me taraude en tant que catholique mariée à un musulman un musulman a-t-il le droit d'entrer dans une église pour assister à un mariage ou à un enterrement chrétien? Mon mari me dit qu'il n'a pas le droit mais moi je me pose des questions car nous croyons et nous aimons Dieu, ce même Dieu qui nous lie entre juif, chrétien et musulman et l'église représente la maison de Dieu donc si mon mari est croyant, il me semble qu'il est la bienvenue dans une église, quelque soit sa religion. Oui ? Non ? Qu'en pensez-vous ? Que dit le Coran là dessus ? Ah si certains pouvait grader leurs états d'ame pour eux tant que personne ne leur demande ! Et si d'autres pouvait s'abstenir de juger les gens qu'ils ne connaissent pas ! Pour répondre à ta question, ce que tu exposes va audela de la visite d'une église. Rien ne lui interdit d'entrer dans une église. Le problème c'est que tu parles de cérémonie mortuaire et de prières, et ça, il n'a pas le droit de le faire. 6 J'ai une question que me taraude en tant que catholique mariée à un musulman un musulman a-t-il le droit d'entrer dans une église pour assister à un mariage ou à un enterrement chrétien? Mon mari me dit qu'il n'a pas le droit mais moi je me pose des questions car nous croyons et nous aimons Dieu, ce même Dieu qui nous lie entre juif, chrétien et musulman et l'église représente la maison de Dieu donc si mon mari est croyant, il me semble qu'il est la bienvenue dans une église, quelque soit sa religion. Oui ? Non ? Qu'en pensez-vous ? Que dit le Coran là dessus ? Si les athées peuvent entrer dans l'église pourquoi pas un musulman ? A l'église la porte a tjrs été ouverte pour tous! S'il te dit cela, ça doit être selon sa croyance dans ce cas! Que cela soit pour suivre le culte, pour assister à un évènement, les portes de l'église doivent normalement être ouverte à tous! Car l'église est un lieu où non seulement on offre un culte à Dieu mais encore on enseigne, on conduit, on exhorte etc. 7 En voilà une question qu'elle est bonne... Il y avait déjà "Est-il permis de serrer la main à une femme", "Est-il permis de se laver les dents pendant le ramadan", "est-il permis de ne pas porter la barbe", et voici à présent de quoi compléter dignement cette suite de questions existentielles et ô combien essentielles au devenir du monde. Je les envie, les savants, d'être sollicités en permanence pour autoriser ou interdire tous les faits et gestes de la vie quotidienne qu'on ne peut bien sûr trancher par nous-mêmes, perclus de notre pauvre insuffisance à déterminer par nous-mêmes ce qui est bon ou pas... Quel beau métier. Tu crois qu'ils font quoi les députés? 8 Si les athées peuvent entrer dans l'église pourquoi pas un musulman ? A l'église la porte a tjrs été ouverte pour tous! S'il te dit cela, ça doit être selon sa croyance dans ce cas! Que cela soit pour suivre le culte, pour assister à un évènement, les portes de l'église doivent normalement être ouverte à tous! Car l'église est un lieu où non seulement on offre un culte à Dieu mais encore on enseigne, on conduit, on exhorte etc. oui et en plus dans les lieux de cultes chretiens , il y a souvent des miracles , on peut etre touché par la grace ,et un athé peut ressortir croyant 9 T'as qu'à lui dire que quand c'est pour picoler ou s'adonner à ses passions, là il est tout de suite moins regardant sur les commandements de Dieu, l'hypocrite. Comment tu sais qui picol? 10 oui et en plus dans les lieux de cultes chretiens , il y a souvent des miracles , on peut etre touché par la grace ,et un athé peut ressortir croyant L inverse est vrai aussi un croyant peut ressortir athee 12 LOL a oui effectivement il cumul pas seulement la picol En espérant pour votre couple que tout s arrange Sinon moi jsui déjà entre dans une église avec l école mais c vrai que c était pas pour prier 13 L inverse est vrai aussi un croyant peut ressortir athee on a jamais eu de témoignage dans ce sens , mais peut etre que c'est arrivé une fois ou2 AncienMembre 14 Dieu Seul sait pour ta question, les avis de savants divergent. Sinon ton mari est un bel hypocrite quand même, boire comme un trou et jouer aux jeux est-ce moins grave que de rentrer dans une église sans intention de prier ?? Je ne pense pas.... Heureusement que le coran dans ce cas tranche " Toute autorisation de se défendre est donnée aux victimes d'une agression, qui ont été injustement opprimées, et Dieu a tout pouvoir pour les secourir. Tel est le cas de ceux qui ont été injustement chassés de leurs foyers uniquement pour avoir dit Notre Seigneur est Dieu !» Si Dieu ne repoussait pas certains peuples par d'autres, des ermitages auraient été démolis, ainsi que des synagogues, des oratoires et des mosquées où le Nom de Dieu est souvent invoqué. Dieu assistera assurément ceux qui aident au triomphe de Sa Cause, car la force et la puissance de Dieu n'ont point de limite. " 15 Heureusement que le coran dans ce cas tranche " Toute autorisation de se défendre est donnée aux victimes d'une agression, qui ont été injustement opprimées, et Dieu a tout pouvoir pour les secourir. Tel est le cas de ceux qui ont été injustement chassés de leurs foyers uniquement pour avoir dit Notre Seigneur est Dieu !» Si Dieu ne repoussait pas certains peuples par d'autres, des ermitages auraient été démolis, ainsi que des synagogues, des oratoires et des mosquées où le Nom de Dieu est souvent invoqué. Dieu assistera assurément ceux qui aident au triomphe de Sa Cause, car la force et la puissance de Dieu n'ont point de limite. " A croire que les savants ne l'ont jamais lu ! Hallucinant, ils ont créés une religion qui se base sur les hadiths, la souna et les fatwas ! 16 on a jamais eu de témoignage dans ce sens , mais peut etre que c'est arrivé une fois ou2 C est qui on? C est arrivé et plus de deux fois!! Tu peut lire plusieurs témoignages de petits enfant qui sont aller a l église voir leur pervers de prêtre ils ne sont plus croyant aujourd'hui AncienMembre 17 A croire que les savants ne l'ont jamais lu ! Hallucinant, ils ont créés une religion qui se base sur les hadiths, la souna et les fatwas ! Ils confondent la religion avec le passé expansionniste des arabes à un certain moment... Moi, ça ne m'étonne pas ils ont toujours fait un mix de religion+tradition... 18 J'ai une question que me taraude en tant que catholique mariée à un musulman un musulman a-t-il le droit d'entrer dans une église pour assister à un mariage ou à un enterrement chrétien? Mon mari me dit qu'il n'a pas le droit mais moi je me pose des questions car nous croyons et nous aimons Dieu, ce même Dieu qui nous lie entre juif, chrétien et musulman et l'église représente la maison de Dieu donc si mon mari est croyant, il me semble qu'il est la bienvenue dans une église, quelque soit sa religion. Oui ? Non ? Qu'en pensez-vous ? Que dit le Coran là dessus ? Bonjour, Salam vu l'obscurantisme, la pédophilie et la luxure qui régnent dans ses lieux qui au passage sont LITTERALEMENT DESETEES par les fidèles, ya aucune crainte à avoir lol un musulman n'a aucune crainte à avoir, admettons qu'il aille dans ce lieux par nécessite obligation par exemple il n'a qua en garder et réciter dans son coeur la sourate les infidèle et NO soucy de toute façon un musulman ne quittera pas la lumière, la serénité, la simplicté et LA vérité de l'islam pour s'égarer dans une religion que les gens fuis de plus en plus par contre l'inverse oui oui ! on le vois de plus en plus hier encore à la mosquée pour la jumuha une chréienne s'est reconvertie à l'Islam al hamdulilah 19 J'ai une question que me taraude en tant que catholique mariée à un musulman un musulman a-t-il le droit d'entrer dans une église pour assister à un mariage ou à un enterrement chrétien? Mon mari me dit qu'il n'a pas le droit mais moi je me pose des questions car nous croyons et nous aimons Dieu, ce même Dieu qui nous lie entre juif, chrétien et musulman et l'église représente la maison de Dieu donc si mon mari est croyant, il me semble qu'il est la bienvenue dans une église, quelque soit sa religion. Oui ? Non ? Qu'en pensez-vous ? Que dit le Coran là dessus ? Il a le droit d'y entrer en tant que visiteur mais il ne peut pas assister à des célébrations ou autres événements religieux au sein d'une église. Ce n'est pas sa volonté, il ne peut réellement pas. 20 Quand j'étais en primaire et quelque fois au lycée , on allait à la messe. C'était vraiment tres tres ... chiant . Chanter les chants liturgique et les catholique qui devait prendre l'eucharistie . 3h à se tourner les pouces . 21 J'ai une question que me taraude en tant que catholique mariée à un musulman un musulman a-t-il le droit d'entrer dans une église pour assister à un mariage ou à un enterrement chrétien? Mon mari me dit qu'il n'a pas le droit mais moi je me pose des questions car nous croyons et nous aimons Dieu, ce même Dieu qui nous lie entre juif, chrétien et musulman et l'église représente la maison de Dieu donc si mon mari est croyant, il me semble qu'il est la bienvenue dans une église, quelque soit sa religion. Oui ? Non ? Qu'en pensez-vous ? Que dit le Coran là dessus ? votre mari a raison,il ne peut pas islamiquement parlant. Allâhou alam 22 J'ai une question que me taraude en tant que catholique mariée à un musulman un musulman a-t-il le droit d'entrer dans une église pour assister à un mariage ou à un enterrement chrétien? Mon mari me dit qu'il n'a pas le droit mais moi je me pose des questions car nous croyons et nous aimons Dieu, ce même Dieu qui nous lie entre juif, chrétien et musulman et l'église représente la maison de Dieu donc si mon mari est croyant, il me semble qu'il est la bienvenue dans une église, quelque soit sa religion. Oui ? Non ? Qu'en pensez-vous ? Que dit le Coran là dessus ? j'ai été à l'enterrement d'un proche chrétien.......... Je suis entrée dans l'Eglise et ai assisté à la messe qui a eu lieu en son honneur....J'étais là en sa mémoire car c'était une personne qui a bcp compté pour moi..... A aucun moment j'ai oublié que j'étais musulmane.........J'ai même ressenti à un moment un des uniques moments peut être que l'on pouvait être uni qu'on soit juif, musulman ou chrétien par la même émotion face à la mort. Et tu vois, je pense même si je comprends ta question, que plus on vit en se mettant des interdits partout, moins en est en harmonie avec sa foi............ 23 C est qui on? C est arrivé et plus de deux fois!! Tu peut lire plusieurs témoignages de petits enfant qui sont aller a l église voir leur pervers de prêtre ils ne sont plus croyant aujourd'hui evidemment mais le pretre en question n'etait pas croyant non plus , car jamais un croyant ne fait de tels choses ils sont se mis pretres uniquement pour aprocher des innocents et en profitter 24 votre mari a raison,il ne peut pas islamiquement parlant. Allâhou alam donne des preuves et pourquoi dis tu cela ?? parfois les gens interdisent cela par peur d'émbranler la foi de l'islam . Bref il faut vraiment être faible . Ma foi est à 100% solide vis à vis de l'islam , je crois dur comme fer , ce n'est pas une messe qui va me faire devier . 25 Quand j'étais en primaire et quelque fois au lycée , on allait à la messe. C'était vraiment tres tres ... chiant . Chanter les chants liturgique et les catholique qui devait prendre l'eucharistie . 3h à se tourner les pouces . ça se passait où? en france? je croyais que c'était un pays laïc? 26 ça se passait où? en france? je croyais que c'était un pays laïc? Il y a des écoles privées religieuses 27 ça se passait où? en france? je croyais que c'était un pays laïc? J'étais ds une ecole et lycée privé catholique . je suis de Belgique 28 donne des preuves et pourquoi dis tu cela ?? parfois les gens interdisent cela par peur d'émbranler la foi de l'islam . Bref il faut vraiment être faible . Ma foi est à 100% solide vis à vis de l'islam , je crois dur comme fer , ce n'est pas une messe qui va me faire devier . Alhamdolillah si ta foi est ferme mais la question tellement ce que l'on pense personnellement mais ce que notre dine interdit! AncienMembre 29 Alhamdolillah si ta foi est ferme mais la question tellement ce que l'on pense personnellement mais ce que notre dine interdit! Le "dine" ne t'interdit rien. A moins que vous suivez la religion de vos "savants"... 30 Il y a des écoles privées religieuses c'est donc pour ça,autrement, c'aurait été une hypocrisie. M'enfin, on en est pas à une près... J'étais ds une ecole et lycée privé catholique . je suis de Belgique D Ceci explique cela! une belge parmi nous! bienvenue alors toujours pas gouvernement?? j'me permets, suis aussi du plat pays! 31 Il y a des écoles privées religieuses ou il y a de plus en plus de musulman d'ailleurs .. 32 ou il y a de plus en plus de musulman d'ailleurs .. Bien sure le niveau et la qualité d'enseignement y sont excellents, comme dans les écoles privées musulmanes et juives d'ailleurs ! Les cours religieux n'y sont pas obligatoire, chacun fait comme bon lui semble ! 33 donne des preuves et pourquoi dis tu cela ?? parfois les gens interdisent cela par peur d'émbranler la foi de l'islam . Bref il faut vraiment être faible . Ma foi est à 100% solide vis à vis de l'islam , je crois dur comme fer , ce n'est pas une messe qui va me faire devier . c'est pas par peur d'ébranler la foi,perso,jlis pas mal de truc qui feraient hérisser les poils de certains et jpense que beaucoup de musulmans entendent des saleté a longueur de journée et c'est pas pour autant que qu'ils vont basculer dans la foibien que cela soit possible,on est daccord,mais linterdiction n'est pas pour cette raison est ce que on pourrait assisté a une ceremonie ou des gens sacrifient leur enfants sur un autel,comme les maya ? biensur que non,pour nous c'est horrible,tuer son enfant pour un faux dieu pour nous c'est un péché de tuer son enfant et jcrois pâs que qqn de sensé dira on doit assister PAR RESPECT POUR EUX,car mon pote est le dernier des mohicans.... et bien en islam,le pire des péchés,c'est l'ASSOCIATION,de donner a Allâh un égal l'islam est venu sur terre pour répandre le tawhid pur,un monotheisme pur,adorer Allâh,l'unique,qui n'est pas engendré et n'a pas engendré,le prophete Mouhammad l'a enseigné aux gens pendant des années et dans les églises,ils considerent que dieu a un fils,que son fils est dieu etc,ils font les cérémonie denterrement de cette maniere alors on ne peut pas dire qu'on peut assisté a cela,voir des gens commettre la pire chose et etre la en spectateur voila grosso modo pourquoi un musulman ne peut pas assister a un enterrement a légliseou un mariage 34 Bien sure le niveau et la qualité d'enseignement y sont excellents, comme dans les écoles privées musulmanes et juives d'ailleurs ! Les cours religieux n'y sont pas obligatoire, chacun fait comme bon lui semble ! Chez nous c'était obligatoire xD avec examen de 10 pages sur la Bible à la fin de l'année . C'était le pretre de notre eglise qui se trouve juste à coté de l'ecole qui nous donnait cours de religion . On devait etudier la carte de la Palestine par coeur , dessiner les cours d'eau , les villes etc ... On avait une grande carte avec comme nom " la Palestine , le pays de Jesus " .Personnellement j'ai été débousolé quand à la tv on parlait d'Israel alors qu'à l'ecole , on nous a toujours parler de Palestine . AncienMembre 35 Chez nous c'était obligatoire xD avec examen de 10 pages sur la Bible à la fin de l'année . C'était le pretre de notre eglise qui se trouve juste à coté de l'ecole qui nous donnait cours de religion . On devait etudier la carte de la Palestine par coeur , dessiner les cours d'eau , les villes etc ... On avait une grande carte avec comme nom " la Palestine , le pays de Jesus " .Personnellement j'ai été débousolé quand à la tv on parlait d'Israel alors qu'à l'ecole , on nous a toujours parler de Palestine . Ils faut plus d'écoles catho de ce genre!
HSPAN/ Faire retraite dans un monastère. English | | Mon compte . Certains services ne sont pas accessibles avec un téléphone intelligent; Ouvrir une session; Mon compte; Mon panier | 0 - 0,00$ CAD. Mon panier Accueil; Catalogue. Ameublements et Orfèvreries d'église. Ameublements et Orfèvreries d'église. Couronnes de l'Avent; Crucifix d'autel et croix; Autels; Fonts baptismaux
Artisanat Monastique 524 produits Les Savoir-faire des MonastèresSouvent issus de longues traditions mais aussi parfois, fruits de l’ingéniosité de moines ou moniales contemporains, les produits issus de l’artisanat monastique couvrent une large gamme de service. Si l’imagerie populaire a parfois caricaturé les moines fabricants de fromage ou vignerons, c’est souvent d’un clin d’œil sympathique qui révèle un attachement aux produits du terroir et peut-être une certaine nostalgie de l’époque médiévale à laquelle les moines sont associés. Au-delà des liqueurs célèbres comme celles des Pères Chartreux, des bières trappistes ou produits de la vigne, on trouve tout un choix d’épicerie fine et de produits gourmands, produits de la ruche ou tisanes de bien être, mais aussi des produits de soins, lotions, baumes, savons, huiles essentielles, élaborés selon des recettes très anciennes ou parfois plus innovantes et au goût du jour, mais aussi des objets de confection, maroquinerie, poterie, céramiques, sans oublier les produits d’entretien et bien sûr des objets d’art religieux ou liturgiques, croix, icônes, médailles et chapelets, cartes de prière ou de communion, bancs de prière, CD de chants religieux et grégorien, … La vente de ces produits religieux permet à nombre de communautés de moines ou moniales de vivre de leur travail et d’aider de plus démunis. ORA ET LABORA », prière et travail, la formule tirée de la Règle de Saint Benoit est bien connue et elle n’est sans doute pas pour rien dans l’attrait de nos contemporains pour les produits d’ARTISANAT MONASTIQUE. Attrait qui rejoint l’intérêt actuel pour les produits artisanaux en général, souvent reliés aux circuits courts, magasins de producteurs et vente directe qui engendrent la confiance. Moines et Moniales, Bénédictins ou Cisterciens, mais aussi Dominicaines ou Carmélites, religieux de tous ordres monastiques sont animés par la même foi et trouvent dans le travail un élément essentiel de leur vie monastique. Cette vie contemplative qui ne sépare pas prière et travail les amène à mettre le meilleur d’eux même dans tout ce qu’ils font. C’est de là que vient la qualité de leurs produits artisanaux. De ce fait, les produits issus de tant de Prieurés ou Abbayes, couvents ou monastères, ont acquis auprès du public un capital de sympathie et une réputation bien établie de sérieux et d’ que les labels de toute sorte se multiplient, pour préserver la qualité et l’origine de leurs produits face à une situation de concurrence déloyale provenant d'un usage abusif de terminologie, d’imagerie ou de publicité d'apparence monastique, les communautés monastiques ont déposé la marque MONASTIC ». Celle-ci défend et protège un savoir-faire reconnu en garantissant la provenance des produits, élaborés selon un cahier des charges très strict. L’implication de la communauté monastique doit être en effet substantielle depuis la conception du produit et dans toutes les étapes de son élaboration, en respectant un ensemble de valeurs communautaires, éthiques, sociales et environnementales. Les communautés monastiques privilégient ainsi la qualité plutôt que la quantité, préservant ainsi leur vie de prière, quotidienne et parfois nocturne, sans le souci du toujours plus’ mais uniquement du toujours mieux’. En choisissant leurs produits vous choisissez bien plus qu’un produit, mais une forme de sagesse et de solidarité dont notre monde a grand besoin. Alors, faites vous plaisir et mieux encore, faites plaisir autour de vous. Céramique de Sainte Aliénor Cette céramique de saint est peinte à la main à partir des modèles créés par l'Atelier Marie-Dominique, Soeu... 33,33 € Céramique de Saint Nicolas Cette céramique de saint est peinte à la main à partir des modèles créés par l'Atelier Marie-Dominique, S&oe... 30,00 € Notre-Dame des enfants La série de Vierge Marie Notre-Dame d'Espérance… » est peinte à la main à partir des mod&eg... 30,00 € Céramique de Saint Martin Cette céramique de saint est peinte à la main à partir des modèles créés par l'Atelier Marie-Dominique, S&oe... 34,53 € Notre Dame des Enfants Cette céramique La série de Vierge Marie Notre-Dame des enfants… » est peinte à la main à partir... 30,00 € Notre Dame de Lourdes Cette céramique de La série de Vierge Marie Notre Dame de Lourde… » est peinte à la main à... 33,33 €
4Le cadre légal civil des communautés religieuses variant selon chaque pays, on peut ainsi expliquer des différences dans le vécu des activités économiques des monastères alors que la règle monastique peut être la même. Un regard sur l’évolution des législations concernant la vie religieuse permet aussi le plus souvent d’expliquer certaines caractéristiques de la vie

Marcel NEUSCH, assomptionniste, responsable de la formation "Avant tout, vivez unanimes à la maison, ayant une seule âme et un seul cœur tournés vers Dieu" St Augustin, Règle "Assomptionnistes, nous sommes des religieux vivant en communauté apostolique..." Règle de vie, §.1 Si la requête de vie communautaire est une constante aujourd’hui, tant chez les jeunes qui se présentent dans les séminaires que chez ceux qui frappent aux portes des monastères ou des communautés religieuses, elle est généralement très forte chez les candidats à la vie assomptionniste. Les deux textes cités en exergue, l’un tiré de la Règle de saint Augustin, l’autre du premier paragraphe de notre Règle de vie, soulignent aussi que la vie communautaire est la condition sine qua non d’une vie à l’Assomption. Il n’est donc pas surprenant qu’un jeune qui aspire à la vie religieuse à l’Assomption mise en priorité sur la communauté, ou découvre celle-ci très vite comme une dimension constitutive de la vie religieuse. Les considérations qui suivent commenceront par présenter, à l’état brut, la "requête de vie communautaire" telle que les jeunes eux-mêmes l’ont exprimée. Il ne s’agit donc pas des simples impressions d’un "formateur" mais des résultats d’un sondage réalisé auprès des jeunes actuellement engagés dans la vie religieuse à l’Assomption. Une deuxième partie portera sur les exigences qu’une telle requête contient pour les formateurs. Il va de soi que je ne parle ici que de la France, et qu’en ce qui concerne d’autres jeunes en formation, notamment au Zaïre et à Madagascar, des nuances seraient à apporter. > LIBRE EXPRESSION DES JEUNES RELIGIEUX EN FORMATION Avant de donner la parole aux jeunes, il est important d’attirer l’attention, en ce qui concerne l’Assomption, sur trois points 1. Les jeunes en formation en France, depuis le postulat jusqu’à l’ordination, représentent une trentaine ces chiffres traduisent à la fois un net recul par rapport aux années fastes, mais aussi une reprise, après la période de crise qui a suivi mai 68. 2. Il y a eu, depuis le Concile, une redécouverte du charisme de la vie religieuse, ce qui s’est traduit par une dissociation entre sacerdoce et vie religieuse. Plusieurs de ces jeunes n’envisagent pas le sacerdoce. 3. Pour leur formation, les jeunes sont dispersés dans les différentes communautés, sauf pendant le noviciat -, et ils bénéficient de la formation d’institutions diverses, surtout universitaires. Voici maintenant les sept questions que je leur ai posées. I - EN VENANT A 1’ASSOMPTION, LES ATTENTES COMMUNAUTAIRES TENAIENT-ELLES UNE PLACE IMPORTANTE DANS TA DEMARCHE ? "Absolument, c’est-à-dire que sans attentes communautaires, je n’aurais jamais rencontré 1’Assomption, puisque c’est à cause même de ce désir je vivais déjà en communauté laïque que je suis arrivé pour vivre la communauté, la prière, l’accueil, la mixité homme/femme et laïc/religieux..." "Ayant cheminé depuis l’âge de 15 ans avec des communautés charismatiques, je suis marqué par ce que l’on appelle le renouveau communautaire. Cela s’est manifesté chez moi par la nécessité de ne plus cheminer seul ’On ne devient pas un saint tout seul’ Daniel Ange. L’Assomption, découverte à 20 ans, répondait à mes attentes un lieu de vie avec un certain esprit de famille fait d’ouverture, de sens de l’accueil, de partage des différences. La vie commune m’a fait découvrir certains traits nécessaires pour le bien-vivre-ensemble franchise, cordialité, initiative. Vivre en commun m’est apparu comme un choix de vie évangélique pertinent ’Voyez comme ils s’aiment !’ face à une société individualiste." Pour beaucoup, la vie communautaire a été "le facteur déterminant". Pourtant, disent certains, la communauté "n’a pas été à l’origine de mon choix. Il s’agissait pour moi de faire le point sur ma vie avant un engagement professionnel et d’apprendre à prier. La communauté m’a été présentée comme un lieu où je pouvais concilier discernement, prière et poursuite de mes études. Je ne savais pas ce qu’était la vie communautaire...". "La communauté est devenue peu à peu un chemin d’évangélisation personnelle et d’ouverture aux autres, un lieu de vérification de l’aptitude à vivre avec d’autres il s’agissait pour moi de ’dépasser l’utopie communautaire’ ; elle a été un ’chemin d’ouverture et de mission’". II - CES ATTENTES ETAIENT-ELLES PRIORITAIRES OU FAISAIENT-ELLES NOMBRE AVEC D’AUTRES ATTENTES ? Si, pour la plupart, l’attente communautaire était prioritaire, elle n’était pas exclusive d’autres attentes. On vient de le voir, pour certains, la communauté est d’abord apparue comme un lieu où l’on cherche ensemble à discerner. "En y réfléchissant bien, je dois avouer que l’attente de vie communautaire n’a pas été prioritaire dans mon désir de venir à l’Assomption. Je suis plutôt venu pour faire le point sur ma vie, réfléchir sur un éventuel choix de vie, et ce pourquoi pas avec d’autres personnes en recherche." Pour ceux qui ont fait une expérience assez longue de vie communautaire, des attentes plus précises se font jour, telles que l’approfondissement spirituel, l’ouverture, l’accueil, la mission, etc. "L’attente communautaire pourrait se dire en termes de lieu d’Eglise où l’on essaie de vivre quelque chose de l’Evangile. L’important est le ’ensemble’". Voici, pour illustrer ces dimensions, deux témoignages "La vie communautaire m’apparaît comme le moyen le plus simple d’éviter les illusions pour que ma vie soit centrée sur le Christ. Elle exige la prière commune et personnelle, le partage des points de vue et des engagements de chacun, un pôle de décision aussi. L’accueil est un élément essentiel, un critère d’ecclésialité.." "J’ai trouvé à l’Assomption des convictions nées d’expériences antérieures, principalement dans deux directions La recherche de l’unité ’Dans un monde divisé, la communauté assomptionniste témoigne que le Christ est vivant au milieu de nous et fait notre unité pour l’amour de l’évangile". Le souci d’annoncer Jésus-Christ Dire sa foi haut et fort va de pair avec la construction d’un monde plus juste et fraternel, ce qui se traduit par le recours aux moyens modernes de communication et le travail avec les laïcs. III - QUELS SONT POUR TOI LES ELEMENTS CONSTITUTIFS D’UNE COMMUNAUTE ASSOMPTIONNISTE ? CES ELEMENTS SONT-ILS EFFECTIVEMENT VECUS ? "Dans l’Esprit de l’Assomption, il y a le primat de la vie fraternelle. D’une communauté à l’autre, il peut y avoir des différences. Il n’en demeure pas moins que j’ai souvent retrouvé dans différentes communautés une simplicité de vie, un grand sens de l’accueil, une ouverture sur le monde, etc." Ces mêmes éléments sont soulignés surtout par les plus anciens qui les ont découverts et intégrés au cours de la formation. Ainsi, l’accent est mis sur unité de lieu ; prière office, eucharistie, adoration commune, retraites communautaires ; temps d’échange effectif ; esprit franc, ouvert, simplicité, cordialité, liberté ; référence à l’Institut supérieurs, religieux ; l’ouverture de la communauté par l’accueil celui-ci doit être adapté au style de chaque communauté, mais "il faut que l’extérieur perçoive le religieux sur fond communautaire, en sorte que la communauté devient le lieu du témoignage évangélique ; solidarités selon les besoins de l’Eglise, de la société..." "Les vœux, en radicalisant les points majeurs de la vie religieuse, font d’elle un rappel de ce que tout baptisé est appelé à vivre c’est une sorte de parabole de la communauté chrétienne. Elle devient ainsi une sorte de mémoire évangélique, avec ses béatitudes... Elle n’existerait pas sans le don de Dieu reçu et accepté. C’est pourquoi, la vie religieuse est témoignage en elle-même... et aussi sujette à l’hypocrisie quand elle oublie qu’elle se reçoit d’un autre ou pense qu’elle est un chemin d’excellence... pour les meilleurs !" IV - COMMENT CONCILIER LES EXIGENCES DE LA VIE COMMUNAUTAIRE AVEC LES AUTRES ASPECTS DE LA VIE ASSOMPTIONNISTE, TEL QUE LA DIMENSION APOSTOLIQUE ? "Il ne s’agit pas de conciliation, mais d’exigence. Vivre en communauté, c’est vivre en relation avec le monde et l’Eglise. Comme pour le reste, l’apostolat d’un religieux n’est pas individuel, même si c’est lui et pas un autre qui fait ceci ou cela... La vie apostolique est davantage la conséquence d’un choix de vie que sa raison d’être si la vie communautaire pâtit exagérément des contraintes de la vie apostolique, cette vie apostolique a de fortes chances de ne plus être véritablement assomptionniste... Je crois que la vie ensemble est difficile et que, sous prétexte d’apostolat, on trouve facilement un moyen d’y échapper !" "Notre spiritualité augustinienne nous invite à faire le va et vient entre vie communautaire et mission apostolique. Cela demande une responsabilité réelle, une discipline de vie personnelle et communautaire, des structures de dialogue entre jeunes, avec les supérieurs, des communautés où se vit réellement l’accueil des différences, etc. Ce respect de l’autre dans sa différence est la source de l’amour augustinien..." La plupart des jeunes étant en période de formation n’a pas réellement éprouvé la difficulté à concilier les différents aspects de la vie religieuse. Mais, comme ils vivent dans des communautés où l’engagement apostolique a souvent le pas sur le "vivre ensemble", ils ne manquent pas d’imaginer des solutions pour parvenir à un tel équilibre."Le moyen de concilier les exigences communautaires avec les autres aspects est d’équilibrer les religieux dans une communauté selon leur apostolat et leur disponibilité. Une communauté où tous les religieux exercent un travail professionnel à plein temps devrait être assez nombreuse environ 10 pour qu’on puisse parler de communauté de vie sans que cela fasse ’dortoir’". V - COMMENT ACCORDER LIBERTE PERSONNELLE, RESPONSABILITE ET COMMUNAUTE ? On s’est beaucoup plus senti concerné par cette question que par la précédente, car elle touche à la liberté de chacun. Si l’on reconnaît le bien-fondé des normes, on veut aussi que la liberté de chacun soit pleinement respectée, sans trop envisager les conflits qui peuvent survenir, "il est nécessaire qu’on se plie a des normes, des conventions... Mais cela n’exclut pas la liberté personnelle, notre esprit critique et notre jugement. La communauté doit garder sa diversité, elle n’implique pas la perte de personnalité..." "Je crois que cet accord est possible, Dieu merci. Cela exige une bonne structuration personnelle. Toutefois, les dangers de dé-responsabilisation existent aussi, notamment durant tout le temps de la formation où nous pouvons être tenus loin des contraintes matérielles et économiques auxquelles les hommes et les femmes de notre temps sont confrontés." "Le ’communisme’ n’est pas le ’collectivisme’ ! La communauté - et le responsable de communauté a pour tâche essentielle d’y veiller - doit permettre à chacun de grandir et d’être respecté... Le fait que les responsables de notre congrégation aient un mandat limité permet un roulement bénéfique De même, changer de communauté assez fréquemment favorise les remises en question de certaines habitudes communautaires déshumanisantes. L’apostolat aide aussi chacun à se situer en homme responsable." "La liberté personnelle me semble un point assez fort à l’Assomption. Je ne crois pas que ce soit une démission, un laisser-faire, mais une réelle confiance des uns et des autres. Une certaine’ sagesse aussi, peut-être, liée sans doute à notre esprit d’initiative... L’obéissance est encore, je pense, une victoire de la liberté une liberté personnelle plus essentielle face à une liberté personnelle moins essentielle." VI - UNE VIE COMMUNAUTAIRE EST-ELLE COMPATIBLE AVEC L’ACCUEIL ET L’OUVERTURE SUR L’EXTERIEUR ? "L’Eglise a besoin aujourd’hui de lieux de vie où le témoignage est visible. Ensuite l’ouverture est nécessaire pour que la communauté ne végète pas dans des problèmes insignifiants, mesquins, de relations trop humaines. L’Evangile suppose la communication." "Cette question semble en cacher d’autres plus profondes. Je pense en particulier à la peur et au désir de tranquillité... Ne pas vouloir être dérangé se comprend parfaitement. Ne jamais vouloir accepter de l’être peut traduire une certaine suffisance on ne ressent pas le besoin de l’autre. Il y a sans doute aussi quelque chose de l’ordre de la chasse gardée, d’un pouvoir à maintenir. Une façon de la vérifier serait de regarder comment on travaille avec les ’laïcs’" "Le dialogue dans la liberté, à partir d’un enracinement profond en Jésus-Christ, peut aider la communauté à trouver l’équilibre toujours délicat entre différents binômes vie commune/vie apostolique ; exigence communautaire/liberté personnelle ; communauté/ouverture sur l’extérieur ; anciens/ jeunes, etc. Il n’y a pas de communauté idéale. Des choix s’imposent constamment pour garder le bon cap..." VII - LA DIVERSITE DES GENERATIONS DANS UNE COMMUNAUTE EST-ELLE UN HANDICAP OU UNE CHANCE ? "Il est vrai qu’il est parfois difficile de cohabiter avec des personnes qui ont 30, 40 ou 50 ans de plus... Le conflit des générations est inévitable. Mais je n’irai pas parler de handicap. Nous pouvons profiter de ce qu’ils ont à nous révéler sur la vie, sur Dieu, sur la vie religieuse..." "Ce n’est pas un handicap, à condition qu’un minimum d’équilibre soit respecté. Après, ce n’est qu’une question de personnes. C’est une chance dans une communauté où les jeunes sont en formation et sont responsabilisés. Rien de plus infantilisant qu’une grande maison de formation où la responsabilité est déchargée sur l’encadrement..." "La diversité des générations est d’abord une chance s’il existe un dialogue vrai et confiant. Les aînés font bénéficier les plus jeunes de leur expérience et de leur fidélité, et ils leur permettent de se situer dans une histoire. Les plus jeunes peuvent aider les aînés à se renouveler et à mieux comprendre les changements de mentalités qui s’opèrent..." "En tant que jeune religieux, je puis affirmer que vivre avec des aînés représente à la fois une richesse et un risque. Une richesse, car le témoignage de religieux fidèles à leur vocation, heureux de leur choix, est un encouragement et un désir de poursuivre mon cheminement. Un risque, car si ces ’aînés’ sont assez nombreux, la communauté peut avoir certaines réticences aux changements. Si les jeunes ne sont pas soutenus, ils peuvent se fondre dans un certain conformisme, au risque de ne pas pouvoir déployer leur sensibilité spirituelle et communautaire..." "La diversité n’est pas facile à vivre. Il faut s’attendre, s’écouter, se respecter, relativiser sa vérité... Est-ce un handicap ? L’autre me gêne toujours quand je le rencontre vraiment. La difficulté avec l’autre gênération, c’est que je ne peux pas maquiller les divergences. Il faut donc se mettre d’accord, et c’est une chance pour la vie ensemble. C’est encore une chance au sens de la tradition les plus âgés nous transmettent ce que nous n’aurions jamais pu comprendre aussi bien autrement. Derrière des façons de vivre différentes, il y a des hommes croyants. Chance encore de se donner mutuellement des raisons de vivre.." > EXIGENCES POUR LES RESPONSABLES DE LA FORMATION Ayant ainsi livré à l’état brut les réactions des jeunes, il me semble qu’en tant qu’Institut accueillant des jeunes, nous avons comme tâche de veiller à ce que les conditions soient réunies pour que la transformation soit de qualité. Partant de mon expérience, je voudrais souligner les conditions d’une croissance du jeune religieux puisque la formation n’a pas d’autre but que d’aider chacun à devenir pleinement lui-même. J’aborderai trois aspects 1 . les attraits de la vie religieuse 2. les dimensions d’une communauté religieuse 3. les chances offertes par la communauté pour la formation. 1 - Les attraits de la vie religieuse Si dans les attraits pour la vie religieuse, la requête communautaire est prioritaire, il est clair qu’un tel attrait doit faire l’objet d’un discernement. Parmi les critères à prendre en compte, je voudrais attirer l’attention sur trois d’entre eux. Premier critère l’âge. L’âge avancé est souvent l’indice de retards affectifs et de déséquilibres persistants, difficilement compatibles avec la vie communautaire. Deuxième critère la capacité de solitude. L’un des critères les plus surs qui permet de dire si un jeune est apte à la vie commune est sa capacité de vivre une réelle solitude. Le besoin excessif de la présence d’autrui doit susciter la vigilance. Troisième critère la capacité de relation, ce qui ne contredit pas le critère précédent, mais le complète. En ce qui concerne maintenant la vie religieuse, je me bornerai à indiquer les trois attraits qui en sont constitutifs. ATTRAIT MYSTIQUE Une foi vécue suppose d’entrer en relation personnelle avec le Christ sur lequel on veut miser sa vie. C’est la dimension mystique. Elle se traduit par la prière, la méditation, ce que les spirituels du XVIIème siècle appelaient le "commerce" avec Dieu. On peut dire que c’est l’une des forces de nos jeunes ils aiment la prière, du moins la prière communautaire. Ce que je constate, c’est que, en France, ils ont au départ une religion d’abord "mystique", sinon fusionnelle. Ayant souvent découvert la vie chrétienne après le choc d’une conversion, à l’intérieur de groupes de prière plus ou moins marqués par le renouveau, la dimension d’intériorité est très forte, prioritaire même, au point que les autres dimensions sont parfois inaperçues. Par là s’explique aussi que plusieurs des jeunes qui étaient en discernement chez nous et même déjà au noviciat aient choisi de s’orienter vers des instituts contemplatifs. ATTRAIT COMMUNAUTAIRE La foi vécue suppose une dimension communautaire, ce qui ne veut pas dire aussi institutionnelle. Que l’attrait communautaire soit venu en premier dans le sondage réalisé plus haut s’explique par la question posée. Il n’est pas indépendant de l’attrait mystique. Certes, la vie communautaire est attractive pour les jeunes mais, comme je viens de le dire, une vie communautaire où la priorité est souvent donnée à l’aspect "communionnel", plus qu’à l’aspect institutionnel, ce qui se traduit par la difficulté d’assumer la dimension conflictuelle et engendre parfois des déceptions. S’ils refusent légitimement le modèle de la cohabitation, ils ont une soif de convivialité, souvent excessive, qui se corrige avec les années. Mais c’est un fait qu’ils sont plus communionnels qu’institutionnels. La formation à la vie religieuse consiste à découvrir la réalité de la communauté avec ses limites et même ses échecs, et donc à en éliminer les auréoles. ATTRAIT APOSTOLIQUE Une foi vécue a une dimension apostolique, c’est à dire qu’elle comporte l’exigence d’ouverture, d’accueil de l’autre, bref de témoignage. Cette dimension fait partie intégrante de toute vie religieuse, indépendamment d’un appel au sacerdoce. On ne peut pas dire que ce soit l’attrait le plus fort chez le jeune. On a constaté un peu partout la désaffection pour les institutions de vie apostolique et un attrait pour les formes monastiques, qui valorisent mieux les deux autres dimensions, mystique et communautaire. Entrer à l’Assomption, c’est accepter une certaine forme d’apostolat, que l’on soit prêtre ou non. En entrant à l’Assomption, les jeunes n’ont pas toujours une expérience d’Eglise, et ils ont besoin de découvrir cette dimension au cours de leur formation. En conclusion, on peut retenir 1. que la vie religieuse à l’Assomption doit harmoniser ces trois attraits. Il n’y a pas à brimer l’attrait particulier d’un jeune, mais on ne peut pas accepter quelqu’un pour qui l’un de ces attraits serait inexistant. 2. chacune de ces dimensions doit subir des purifications qui n’a pas éprouvé l’aridité spirituelle est exposé à bien des illusions ; qui n’a pas affronté la conflictualité n’a pas encore découvert ce qu’est la communauté ; qui n’a pas rencontré la détresse humaine n’a pas encore la tripe apostolique. Ce sont là des tests de l’authenticité de la vie religieuse. C’est pourquoi d’ailleurs 3. la durée est un élément indispensable de la formation. Ce qui ne se fait pas avec le temps, le temps le défait ! 2 - Les dimensions d’une communauté religieuse Les jeunes et moins jeunes qui entrent à l’Assomption en France sont de jeunes adultes, déjà riches d’une expérience humaine importante, universitaire ou professionnelle. Le fait d’être en face d’adultes est une chance, mais une chance qui ne doit pas conduire à les idéaliser. Nous avons à entrer dans un processus de formation qui doit intégrer ce passé, souvent blessé, en tous les cas riche d’expérience. Le réalisme du regard évitera le surinvestissement tendance à faire porter au jeune tout le poids de l’avenir ; mais il évitera aussi la sous-évaluation les traiter comme s’ils n’avaient pas de passé. Etre reconnu tel qu’on est et pour ce qu’on est, est toujours source de joie pour le jeune. L’institut qui a la responsabilité de la formation trouve dans la communauté le meilleur point d’appui UNE COMMUNAUTE SANS IDEALISATION Il faut d’abord éviter d’idéaliser la communauté qui accueille le jeune, au besoin enlever au jeune sa propre idéalisation en jouant la carte du réalisme. S’il vient avec l’idée qu’il a choisi le meilleur institut existant aujourd’hui, il fait certainement fausse route car il est prisonnier d’une idéalisation qu’il risque de payer cher. Présenter l’institut dans sa réalité concrète, avec la diversité même des communautés qui le composent, c’est mettre le jeune en situation de responsabilité de son propre avenir. En France surtout, où le vieillissement gagne du terrain, nous avons constamment à faire un effort pour que l’Assomption soit perçue telle qu’elle est, dans ses germes de mort tout comme dans ses germes de vie. Il est à présenter comme un espace où il est possible de vivre en plénitude un engagement de vie religieuse, mais qui ne dispense pas des risques de l’avenir. UNE COMMUNAUTE RICHE D’UNE TRADITION En venant dans un Institut, un religieux devient membre d’une communauté de vie, dont aucun aspect ne peut le laisser indifférent. Il va se familiariser avec une histoire qu’il devra assumer, découvrir une tradition, faire la connaissance des hommes qui l’on faite. Cette tradition dont il hérite, non pas pour s’y enfermer comme dans une forteresse, mais pour enrichir sa propre capacité de créativité, doit élargir son horizon. Dans un monde où l’individualisme gagne du terrain, le jeune qui fait le choix de vivre avec d’autres, associe sa vie avec celle d’autres hommes avec lesquels il s’engage à construire un avenir, mais à partir d’un héritage qu’il reçoit. Comme le disait le cardinal MARTY, au moment du centenaire de la mort du fondateur, le Père d’ALZON "vous êtes des héritiers, soyez des fondateurs !". UNE COMMUNAUTE OUVERT L’AVENIR Dans la plupart des Instituts, en France, l’avenir paraît parfois bouché. Il manque entre les jeunes en formation et les formateurs actuels une génération intermédiaire. A l’Assomption, cette tranche intermédiaire n’est pas totalement inexistante, mais elle est mince et s’il faut tabler sur elle, il ne faut pas lui faire supporter trop tôt la responsabilité de l’avenir. Même si l’Institut ne peut pas lui offrir les conditions idéales de la formation, il est important que, en y entrant, le jeune découvre qu’il n’est pas un membre isolé, mais qu’il fait partie d’un corps social dans lequel il a sa place, qui lui offre des possibilités réelles de formation et donc un avenir pour son propre projet de vie à la suite du Christ. Il devra aussi assumer cet écart entre les générations, même si l’Institut doit veiller à ce que cet écart joue d’abord en faveur des jeunes. Sans perspective d’avenir, il n’y a pas d’engagement possible. DONT L’HORIZON EST LE MONDE En entrant à l’Assomption, le jeune découvre aussi l’internationalité, qui est une des formes de la catholicité. Il ne l’éprouve pas seulement quand il voyage et à l’occasion de visites à d’autres communautés dispersées à travers le monde. L’internationalité se vit au présent, là où l’on est, et elle comporte des exigences dès la formation apprentissage des langues étrangères, intérêt pour les autres cultures, ouverture à d’autres sensibilités, rencontre des religieux d’autres provinces, etc. Entrer dans la vie religieuse, ce n’est pas trouver un havre pour son angoisse, mais un port de départ pour aller vers des frères qui ont en charge l’Evangile sur d’autres chantiers et dans d’autres pays. C’est être disposé à quitter son propre pays, bien évidemment aussi sa première communauté. LA COMMUNAUTE, CHEMIN DE SAINTETE La communauté doit enfin proposer un "modèle de sainteté". S’il est vrai que l’on peut créditer les jeunes d’une sensibilité à la fois spirituelle et communautaire, un tel apport initial est un enrichissement pour toute l’Assomption, et souvent une remise en question d’un style de vie trop confortable. L’apport spécifique des jeunes est certainement la qualité de la prière et de la vie fraternelle. Cela ne dispense pas la communauté de proposer un "modèle de sainteté", car une sensibilité spirituelle n’est pas encore une "spiritualité" qui puisse soutenir une vie. A l’Assomption, nous parlons de "sainteté apostolique" sans que le terme ait d’emblée un contenu précis, mais dont on peut dire qu’elle a un triple accent christocentrique, ecclésial et humain, autrement dit, la sensibilité spirituelle, qui est la richesse des jeunes, a besoin d’être triplement décentrée. En parlant de réalisme, il ne s’agit nullement de céder au pessimisme. Avoir un regard réaliste, c’est être capable de mesurer les limites de toutes choses, mais aussi de comprendre les chances qui s’offrent. Les mutations que nous sommes en train de vivre sont un signe de vitalité, donc d’accroissement de la vie. C’est vrai qu’une période de mutation n’est pas facile à vivre. Nous avons à accompagner les jeunes dans leur croissance, celle-ci devant les amener à s’engager en connaissance de cause, ce qui ne veut pas dire à l’abri de tout risque, mais dans le partage d’une communauté de destin qui dépasse leur propre désir. 3 - La communauté comme lieu de formation Un institut qui n’est plus en mesure de former les jeunes qu’il accueille manque à sa mission. Le cadre institutionnel, dont la finalité est d’accompagner le religieux au cours de sa formation, a évolué de façon assez radicale au cours des vingt dernières années. On a même parlé d’éclatement. De fait, les grandes institutions de formation, telles que nous les avons connues à l’Assomption alumnats, noviciats, scolasticats n’ont pas résisté à l’effondrement des chiffres. Il a donc fallu réajuster la formation. Je vais indiquer quelques-unes des possibilités qu’offre la communauté pour la formation. LA COMMUNAUTE EDUCATRICE DU DESIR En premier lieu, la communauté est une éducatrice du désir. Elle doit aider le jeune à discerner sa vocation qui n’est pas nécessairement la vie religieuse, ni à plus forte raison la vie religieuse à l’Assomption. Nous avons là une possibilité neuve d’exercer le désintéressement auquel invite le P. d’ALZON. Etant donnée la diversité des jeunes, cette formation doit être individualisée, ce qui implique, outre l’accueil initial sans préalable - sinon le désir du jeune de s’engager dans une recherche de vie chrétienne -, un accompagnement individualisé. L’individualisation n’est pas à confondre avec une formation qui répondrait à son désir immédiat. Ce désir est lui-même à éduquer et à ajuster aux besoins de l’Eglise et de l’Assomption. La communauté est un des lieux où se fait cette éducation. LA COMMUNAUTE, LIEU DE VERIFICATION En deuxième lieu, la communauté est un temps de vérification. Il existe trois maisons CACHAN, LILLE et STRASBOURG qui ont pour vocation d’accueillir des jeunes en recherche et de faire un premier discernement avec eux. Les jeunes qui s’y présentent ont découvert ces lieux de manière fortuite, mais souvent par le contact avec l’un ou l’autre religieux qui a su lui faire une proposition concrète de vie communautaire. En tous les cas, ces lieux offrent une structure d’accueil qui essaie de prendre en compte les aspirations communautaires du jeune, et de l’aider à découvrir sa propre vocation. Mais toute communauté doit rester un lieu de vérification du choix de vie que l’on a fait. LA COMMUNAUTE, UN LIEU d’APPRENTISSAGE En troisième lieu, le noviciat est par excellence "un temps fort d’initiation pratique et théorique à la vie communautaire", dit la charte de formation qui précise "le jeune entre au noviciat, souvent porteur d’une grande aspiration à la vie commune, avec une part de rêve. Le noviciat doit purifier ces attentes et les approfondir au contact de la tradition communautaire de l’Assomption". Un maître de novices, assisté d’autres religieux, est affecté à plein temps à la formation des novices. Cette autonomie du noviciat est une condition indispensable pour une authentique expérience de vie religieuse. LA COMMUNAUTE, UN LIEU DE RESPONSABILITE En quatrième lieu, après le noviciat, les jeunes sont dispersés dans les communautés constituées de la Province, la règle étant de les mettre au moins par deux, l’affectation à ces communautés se faisant à partir de plusieurs critères sensibilité du jeune, type de formation recherché, équilibre de la communauté, etc. Actuellement, il existe cinq lieux STRASBOURG plusieurs communautés, TOULOUSE, LILLE, LYON. "Le cadre de la communauté étant plus souple, dit la Charte, il sera fait appel à l’initiative du jeune qui devra s’imposer une discipline personnelle pour assurer l’équilibre entre la vie fraternelle, la vie de prière, les études et les engagements apostoliques..." LA COMMUNAUTE, UN LIEU DE CONVIVIALITE En cinquième lieu, la communauté est un lieu de convivialité. Pour remédier à la dissémination des jeunes religieux dans les diverses communautés de la Province, mais aussi pour assurer une sensibilité assomptionniste commune, il est apparu très vite qu’il fallait des espaces de rencontres typiquement assomptionnistes. C’est pourquoi, trois fois dans l’année, tous les jeunes en formation se retrouvent, en commun avec les autres familles religieuses de l’Assomption quatre congrégations féminines dans un but de convivialité et de partage sur les différents aspects de la vie à l’Assomption. D’autres rencontres, moins régulières, ont lieu, soit à l’initiative des jeunes, soit à l’initiative des formateurs. LA COMMUNAUTE, UN LIEU DE CONFRONTATION En sixième lieu, la communauté est le lieu où se réalise la confrontation entre le désir du jeune avec le désir d’une congrégation, dont le formateur est le garant. La liberté authentique réside dans la capacité du jeune à opérer l’ajustement de son propre désir au désir de l’institut. L’avenir qui est à assumer n’est pas seulement le sien propre, mais celui d’un corps social dont il partage la destinée. Aussi, en parlant de responsabilité, je ne dis pas que le jeune doit faire son chemin tout seul. Il doit le faire en mesurant sa responsabilité à la réalité de ce qu’il est et de l’institut dans lequel il entre. * * * A l’Assomption, il existe une commission de formation, nommée par le Provincial, qui fonctionne depuis plusieurs années. Un "formateur", dont le mandat est de trois ans, renouvelable, en assure la coordination. Sa charte est la "Ratio institutionis". Elle se réunit trois fois dans l’année pour faire un bilan des frères en formation, et envisager les orientations de chacun. Il revient à la commission de donner son avis au moment des différents engagements, chacun des membres étant "spécialisé" dans tel ou tel secteur. La commission intervient tout particulièrement au moment où se décident les orientations engageant l’avenir, le cycle des études, le choix de la communauté, l’orientation apostolique, etc. Un tel cadre de formation a l’avantage de la souplesse. La diversité des lieux permet de réaliser une meilleure adéquation entre le religieux et la formation souhaitée pour/par lui. Elle permet aussi des déplacements de religieux d’un lieu à un autre et donc elle offre la possibilité de faire tester le jeune par d’autres communautés. Par ailleurs, le fait d’être dans une communauté non spécifique de formation place le jeune dans un cadre de vie réel, avec des religieux qui ont d’autres engagements. Comparé à ces avantages, les inconvénients sont mineurs et peuvent être corrigés de différentes manières. Par sa responsabilité, le formateur est appelé à être le témoin d’une croissance. Si un jeune ne fait pas cette expérience d’une croissance, il se sent très vite à l’étroit et se replie sur lui-même. Et c’est là un signal d’alarme qu’un formateur ne peut pas ne pas entendre. Quand on a ce privilège de pouvoir accompagner des frères dans cette période de croissance, on est constamment émerveillé, d’abord par l’éclosion de leur vocation, ensuite par leur progrès dans la vie religieuse. Les joies qu’un formateur peut éprouver résultent toutes de cette expérience de témoin privilégié.

Précédent3 456 7 Suivant Aix en Scène. Festival généraliste, Danse - Bal - Cabaret Aix-en-Provence 13090 Du 15/09/2022 au 17/09/2022 De grands noms seront présents comme Breakbot et Irfane qui préparent un set groovy, Mickael Jones grand nom de la chanson française qui a multiplié les collaborations prestigieuses, le roi de la disco Cerrone qui nous réserve un closing
La solution à ce puzzle est constituéè de 8 lettres et commence par la lettre C CodyCross Solution ✅ pour FAIRE ENTRER UN RELIGIEUX DANS UN MONASTÈRE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "FAIRE ENTRER UN RELIGIEUX DANS UN MONASTÈRE" CodyCross Faune Et Flore Groupe 175 Grille 2 7 2 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide à vos amis! Recommander une réponse ? Connaissez-vous la réponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Faune Et Flore Solution 175 Groupe 2 Similaires

Larégion Grand-Est a compté environ 65 monastères de l’ordre de Cîteaux fondés entre 1115 (Clairvaux ; Ville-sous-la-Ferté, Aube) et avant 1274 (Consolation). Ces abbayes, masculines et féminines, et leurs granges, établissements ruraux qui leurs sont attachés, participent au renouvellement des aspirations religieuses à la fin du xie et au début du xiie siècle.

Que la France est belle!» Qui n’a pas eu cette pensée, à l’occasion d’un voyage dans une région voisine, loin du train-train quotidien? Nous avons choisi vingt destinations – il a fallu nous limiter! –où l’agrément les séjours touristiques rejoignent les retraites spirituelles. Car la beauté des paysages, des monuments et, pourquoi pas, des traditions culturelles et gastronomiques, n’est pas sans lien avec cette autre beauté, la plénitude, qui rayonne d’un cœur nourri spirituellement. Celle-ci ne se commande pas, mais il est des lieux où elle s’épanouit. Vous pouvez y séjourner un week-end, quelques jours ou letemps d’une balade. Hauts-de-France Abbaye Notre-Dame Chiry-Ourscamp, OiseEn lisière de forêt, la communauté des Serviteurs de Jésus et Marie vit sur le site d’une abbaye du XIIIe s. aux ruines majestueuses. Parmi leurs propositions spirituelles, des week-ends apicolo-spi», où la formation au soin des ruches est l’occasion d’élever son âme! Belle liturgie chantée. La forêt appelle à 03 44 75 72 00 ; Île-de-France Abbaye Notre-Dame Jouarre, Seine-et-Marne Quatorze siècles de vie monastique ont laissé à Jouarre des monuments crypte mérovingienne, tour roma-ne, église abbatiale et surtout une communauté de moniales bénédictines, à proximité de Paris, chez qui il fait bon reprendre souffle. De Jouarre, on peut rapporter de délicieuses confitures faites à l’abbaye ou un brie fermier de chez Ganot, dernier affineur du 01 60 22 84 18; Grand-est Notre-Dame de Dusenbach Ribeauvillé, Haut-Rhin Depuis Ribeauvillé, une boucle de 7km passant par le château de Haut-Ribeaupierre et Notre-Dame de Dusenbach permet de découvrir ce haut lieu de pèlerinage depuis 1204. Une messe et un office marial y sont célébrés le dimanche. À L’abri des pèlerins, restauration et hôtellerie sont gérées par les frères capucins. Le 1ermai, pèlerinage à 03 89 73 64 12. Bourgogne Franche-Comté Ronchamp Ronchamp, Haute-Saône La colline de Ronchamp est un haut lieu spirituel, magnifié aujourd’hui par deux chefs-d’œuvre d’architectes contemporains la chapelle Notre-Dame-du-Haut et le couvent des clarisses. Celles-ci accueillent les visiteurs avec une grande ouverture d’ 03 84 63 13 40 ; Sainte-Claire Poligny, JuraPoligny est célèbre pour son comté et les vins du Jura, mais la ville recèle également une quinzaine de monuments historiques parcours fléché, dont le couvent des clarisses. De nombreux couples en désir d’enfant viennent y prier sainte Colette XVe s..Accueil tout 03 84 37 11 40; Auvergne-Rhônes-Alpes Sanctuaire d'Ars Ars-sur-Formans, Ain Ars est devenue célèbre par son saint curé» Jean-Marie Vianney 1786-1859. On peut conjuguer une marche sur le chemin du curé d’Ars 16km, au départ de Montmerle-sur-Saône et la visite du sanctuaire basilique, musée de cire. Accueil à la belle maison de La 04 74 08 17 17; Noirétable, LoirePerché à 1 110m d’altitude, au cœur de sapinières vert-noir, levaste sanctuaire marial commémore l’histoire d’un grand pécheur retourné» par la Vierge au XIIe s. Les religieuses fournissent le gîte et le couvert, autorisant une cure de dépaysement au grand air. Les divers lieux du pèlerinage – chapelles, source, rochers – sont l’occasion d’une marche de quelques kilomètres offrant de superbes panoramas sur le Forez et l’Auvergne.>>> À lire aussi sur Six livres pour nourrir sa vie intérieureRens. 04 77 96 20 30; / spirituel La Pomarède Paulhenc, CantalC’est pour se ressourcer que l’on vient dans ce lieu confortable et moderne où le silence est privilégié. La nature somptueuse – sentiersen forêt, vue sur les eaux paisibles du lac du barrage de Sarrans – constitue déjà une 04 71 23 61 61; Saint-Antoine-le-Grand Saint-Laurent-en-Royans, DrômeNiché dans une combe sauvage du Vercors, ce petit monastère est le lieu où s’imprégner de spiritualité orthodoxe, à travers l’architecture de l’église byzantine et ses 600m² de peintures murales intérieures. Visite guidée possible à partir du mois de mai consulter le site Internet. Hôtel-restaurant proche, au col de la 04 75 47 72 02; Provence Alpes-Côte d'Azur Abbaye Notre-Dame Ganagobie, Alpes-de-Haute-ProvenceIci, l’homme et la Création ont signé comme un pacte d’amour et de beauté», écrivent les moines bénédictins vivant sur ce balcon dominant la vallée de la Durance. Visite de l’église romane et de sa mosaïque 15 à 17heures, du mardi au dimanche. Consultez à l’avance la disponibilité des chambres de l’hôtellerie monastique pour un séjour. Chemins de randonnéeà 04 92 68 00 04; de Lérins île Saint-Honorat, Cannes, Alpes-Maritimes Une oasis de calme et de verdure, à quinzeminutes de Cannes par navette maritime. Les visiteurs d’un jour peuvent découvrir le monastère fortifié, effectuer à pied le tour de l’île 3km, et assister aux offices célébrés par les moines 04 92 99 54 00; Notre-Dame-des-Champs Arles, Bouches-du-RhôneÀ deux pas d’Arles, de son musée archéologique, de ses arènes et de son théâtre romain, le prieuré de Bouchaud occupe un bel ensemble de bâtiments du XVIIIe s., au milieu des vignes et rizières de la Petite Camargue. Les moines de la communauté ont à cœur d’accueillir leurs hôtes comme si c’était le Christ lui-même».Rens. 04 90 47 21 30; Corse Couvent Saint-François Vico, Corse Le couvent Saint-François se dresse depuis le XVe s. sur les pentes du mont Rotondo, à 14km de la mer. La région offre de nombreuses balades dans des paysages magnifiques. Les religieux oblats de Marie-Immaculée mettent des chambres à disposition des parti-culiers, ainsi qu’une cuisine et une salle à manger en rez-de-jardin. Restaurants au village. Messe le dimanche à 9 h 04 95 26 83 83; Occitanie Abbaye de Sylvanès Sylvanès, AveyronDes fidèles viennent de l’Europe entière pour les grandes fêtes liturgiques à Sylvanès, notamment les offices de la Semaine sainte et de Pâques. Nombreuses balades,dont la boucle de Sylvanès» 10,8 km au départ de l’abbaye, qui passe par une chapelle russe de style orthodoxe. Pour se loger, contacter l’office de tourisme de 05 65 98 20 20; À lire aussi sur Quand une pause spirituelle s’impose durant les vacances d’étéAbbaye Saint-Michel-de-Cuxa Codalet, Pyrénées-Orientales À Saint-Michel-de-Cuxa, il faut suivre une visite guidée pour découvrir toutes les richesses de ce chef-d’œuvre de l’art roman. Jusqu’à fin mai, on peut contempler un jardin d’iris en fleur 500 variétés. La communauté bénédictine célè-bre les offices dans l’église abbatiale ou dans l’oratoire du faire le Tour de l’abbaye, à partir de la mairie de Codalet 7km.Rens. 04 68 96 15 35; Nouvelle-Aquitaine Monastère de l’Annonciation Prailles, Deux-SèvresDans une campagne paisible, à portée de TGV arrêt à Saint-Maixent, les bénédictines de Prailles veillent. À l’aube de Pâques, catholiques et protestants convergent vers le mo-nastère par plusieurs routes, puis célèbrent un office de louange, avant un bon petit 05 49 32 69 81; Bretagne Abbaye de Rhuys Saint-Gildas-de-Rhuys, Morbihan Cette ancienne abbaye du VIes. est devenue un centre culturel et spirituel, où les sœurs de la Charité de Saint-Louis proposent des séjours. Cure de sérénité assurée, à 200m de lacôte sauvage. Nombreuses balades en bord de mer et programme spirituel à la carte. L’église est l’un des plus beaux sanctuaires romansde 02 97 45 23 10; Pays de la Loire Abbaye Saint-Pierre de Solesmes Solesmes, Sarthe L’abbaye est un haut lieu du chant grégorien. Sur demande, on peut rencontrer un moine. L’après-midi du lundi de Pâques, on y vénère la Sainte-Épine, relique de la couronne d’épines. Dans la boutique, on peut acheter le pain d’épices fabriqué par les moines. À 7km, beau village d’Asnières-sur-Vègre, célèbre pour les peintures murales XIIe-XVIe s. de son église. Pour l’hébergement, s’adresser à l’office de tourisme de 02 43 95 03 08 Normandie Abbaye Saint-Wandrille Saint-Wandrille-Rançon, Seine-MaritimeSur la route des abbayes normandes, les vestiges de l’ancienne abbatiale de Saint-Wandrille et l’église actuelle sont ouverts au public visites guidées à partir du 21mars. Offices en grégorien, notamment la Semaine sainte et le dimanche de Pâques. Gîtes et chambres d’hôtes sur la commune. À la boutique de l’abbaye bénédictine, on trouve la fameuse bière de 02 35 96 23 11; Saint-Martin de Mondaye Juaye-Mondaye, Calvados La communauté des Prémontrés de Mondaye propose des retraites d’un jour jeudis 2mars, 27avril et 18mai et des sessions culturelles et de l’abbaye le dimanche. Hébergement possible à l’ 02 31 92 58 11; À lire aussi sur notre guide des vacances spirituelles <<<

. 254 491 659 783 52 527 4 328

faire entrer un religieux dans un monastère